L'avis de Mediafilm

La personnalité dominante dans ce film est celle du scénariste Paddy Chayefsky, qui acquit la renommée dans les années 50 en écrivant Marty. On retrouve dans son texte le réalisme naturel manifesté dans cette première oeuvre en même temps qu'une satire rageuse contre la dépersonnalisation des services hospitaliers. Le film, conduit de façon alerte par Arthur Hiller, mêle les genres sans égarer l'intérêt qui se soutient de bout en bout en dépit de détails outranciers. George C. Scott joue en force et Diana Rigg fait bien le peu qu'elle a à faire.