L'avis de Mediafilm

La célèbre trilogie de Marcel Pagnol se trouve ici condensée et présentée à l'américaine. Si l'on peut regretter la perte de «l'assent», il faut reconnaître le progrès dans la présentation cinématographique du sujet. La cocasserie et l'émotion se partagent l'attention du spectateur dans un décor d'une couleur locale indéniable. Le jeu de Leslie Caron est vraiment prenant de même que la composition de Maurice Chevalier.

Texte paru en 1961