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Le chevalier blanc (Sigfrido)

1958 · undefined (ang)
100% est d'accord avec la cote
Après avoir vaincu un dragon, le jeune Sigfrid devient quasi invulnérable.
Lent et emphatique. Décors de carton-pâte. Interprétation peu nuancée.

L'avis de Mediafilm

Après l'oeuvre musicale de Wagner et les films de Fritz Lang sur le même sujet, cette production italienne fait assez piètre figure, malgré l'application évidente qu'on y a mise. L'emphase remplace le souffle épique et la lenteur tient lieu de majesté. Un dragon asthmatique et des décors de carton-pâte contribuent peu à améliorer la mauvaise impression laissée par une interprétation monolithique.

Texte paru en 1962

Synopsis

Peu après sa naissance, Sigfrid est confié par sa mère mourante à un nain forgeron qui vit en pleine forêt. Jeune homme, Sigfrid tue le dragon Fafner, gardien du trésor de Niebelungen; il se baigne dans le sang du monstre et devient invulnérable sauf en un point de son corps où une feuille s'est posée. Plus tard il aide le roi des Burgondes, Gunther, à gagner la main de la reine d'Islande, Brunehilde. Pour sa part, il épouse Kriemhilde, la soeur de Gunther. Mais Brunehilde aime Sigfrid et pour se venger elle favorise la rancune de son rival, Hagin. Ce dernier apprend le secret du trésor et découvre le point faible de Sigfrid. Il le tue, mais paie chèrement son crime.

Année

1958

Genre

Drame

Durée

90 min.

Origine

Italie

Information

Genre

Drame

Année

1958

Durée

90 min.

Réalisation

Pays

Italie