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1957

Ascenseur pour l'échafaud (Elevator to the Gallows)

Un homme planifie un crime parfait et prévoit tout, sauf une panne d'ascenseur. Premier film de Louis Malle. Brillant exercice de style. Suspense soutenu avec rigueur et sobriété. Personnages fort bien étudiés et interprétés avec talent.
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L'avis de Mediafilm

Louis Malle a réussi un film brillant qui se ressent de l'influence de Robert Bresson (désir d'évasion du criminel) et de Jacques Tati (économie du dialogue), et dans lequel le suspense se prolonge de la première image à la dernière. Renonçant aux poncifs habituels, le cinéaste emploie une rigueur de style d'un ton nouveau, dans un univers irrespirable fait de béton, d'électricité. Les personnages en sont pour ainsi dire «déshumanisés» malgré l'excellente interprétation des vedettes.

Texte paru en 1958

Synopsis

Un homme dangereux travaille pour le compte d'un trafiquant immonde dont la femme est sa maîtresse. Il décide, de connivence avec celle-ci, d'assassiner son «patron» et machine alors un crime parfait. Tout est prévu dans le moindre détail. Sauf une panne d'ascenseur qui l'immobilisera durant une nuit entre deux étages, sur les lieux même du crime.

Année

1957

Genre

Drame

Durée

88 min.

Origine

France

Information

Classification

G

Genre

Drame

Année

1957

Durée

88 min.

Réalisation

Photographie

D'après le roman de

Pays

France

Distribution

K-Films Amérique

Récompenses

Prix Louis-Delluc, Meilleur film, 1957