L'avis de Mediafilm

Robert Aldrich nous met tout de suite dans l'ambiance, celle d'une oeuvre noire d'un réalisme machiavélique. C'est dire que la mise en scène est vigoureuse jusqu'à la dernière image. Et l'histoire atomico-policière, gravitant autour d'un couple aux moeurs peu édifiantes et offrant en outre des brutalités bien gratuites, risque d'émousser la sensibilité du spectateur non averti.

Texte paru en 1955-56