L'avis de Mediafilm

Partant de cette situation dont les développements soulèvent des problèmes humains complexes, le film révèle peu à peu une thèse généreuse en combattant le nationalisme outrancier et en prônant le rapprochement des peuples et l'université de l'art. Mais il ne faut pas chercher la poésie de Jean Giraudoux dans cette oeuvre volontairement commerciale. Michel Auclair exprime bien l'hermétique personnage emprisonné dans son doute. Ceux qui connaissent "Siegfried" regretteront de s'attarder à ce film romanesque où seule l'union libre, présentée sans blâme, est à regretter.

Texte paru en 1957