Un Homme d'action (Un hombre de accion)

Name: Homme d'action, Un
Director: Javier Ruiz Caldera
Genre: Drame biographique
Released: 2022-11-15 12:06:55
Duration: 111 min.

Esp. 2022. Drame biographique de Javier Ruiz Caldera avec Juan Jose Ballesta, Liah O'Prey, Luis Callejo. À Paris, en 1979, un anarchiste espagnol, braqueur de banques, devient célèbre en falsifiant des chèques de voyage, volant des sommes considérables à l’institution américaine qui les a émis. Sujet fascinant, gaspillé par un scénario mécanique et une mise en scène empesée. Utilisation agaçante de succès pop. Reconstitution d’époque approximative. Interprètes lourdaud.

Un Homme d'action (Un hombre de accion)

Esp. 2022. Drame biographique de Javier Ruiz Caldera avec Juan Jose Ballesta, Liah O'Prey, Luis Callejo.

À Paris, en 1979, un anarchiste espagnol, braqueur de banques, devient célèbre en falsifiant des chèques de voyage, volant des sommes considérables à l’institution américaine qui les a émis. Sujet fascinant, gaspillé par un scénario mécanique et une mise en scène empesée. Utilisation agaçante de succès pop. Reconstitution d’époque approximative. Interprètes lourdaud.

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Genre :

Drame biographique

Année :

2022

Durée :

111 min.

Réalisation :

Javier Ruiz Caldera

Scénario :

Patxi Amezcua

Photographie :

Sergi Vilanova Claudín

Montage :

Alberto de Toro

Pays :

Espagne

Distributeur :

Netflix

Interprètes :

Juan Jose Ballesta
Liah O'Prey
Luis Callejo
Miki Esparbé
Alexandre Blazy
Ben Temple

1954. Déserteur antifranquiste, Lucio Urtubia vit à Paris où il est maçon et braqueur de banques pour la cause anarchiste. Il se marie à une militante française et ont une petite fille. En 1979, la bande de Lucio devient célèbre après avoir falsifié pour 20 millions de dollars de chèques de voyage de la Citibank.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Peu connue, la vie rocambolesque de Lucio Urtubia avait tous les ingrédients pour inspirer un palpitant "biopic". Hélas, chaque aspect du film gaspille ce potentiel: scénario enfilant mécaniquement les séquences, mise en scène empesée, utilisation agaçante de succès pop, reconstitution d’époque peu convaincante, interprètes lourdauds. Bref, un gâchis presque intégral.

Texte : Éric Fourlanty

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