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Yakuza Princess

Br. 2021. Thriller de Vicente Amorim avec MASUMI, Jonathan Rhys Meyers, Tsuyoshi Ihara. Au Brésil, l'héritière d'un puissant yakuza combat diverses factions rivales, avec l'aide d'un étranger aux motivations ambiguës. Adaptation vigoureuse d'un roman graphique brésilien. Scénario prometteur mais inabouti. Style au carrefour du cinéma d'action asiatique et du film noir américain. Forte présence de MASUMI.

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Yakuza Princess (Yakuza Princess)

Br. 2021. Thriller de Vicente Amorim avec MASUMI, Jonathan Rhys Meyers, Tsuyoshi Ihara.

Au Brésil, l'héritière d'un puissant yakuza combat diverses factions rivales, avec l'aide d'un étranger aux motivations ambiguës. Adaptation vigoureuse d'un roman graphique brésilien. Scénario prometteur mais inabouti. Style au carrefour du cinéma d'action asiatique et du film noir américain. Forte présence de MASUMI.

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n/d
Élevée par son grand-père au sein de la diaspora japonaise de Sao Paulo, Akemi apprend un jour qu’elle est l’héritière d’un puissant yakuza. Aussitôt plongée au coeur d’une lutte opposant plusieurs bandes rivales, la jeune femme obtient la protection de Shiro, un mystérieux étranger amnésique aux motivations ambiguës, lui aussi en quête de ses origines.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Adapté d'un roman graphique brésilien, ce croisement entre cinéma d'action asiatique et film noir américain captive davantage par sa forme que par son contenu. Classique, mais accrocheuse, la prémisse est développée de manière inégale dans un décor insuffisamment exploité, Sao Paulo abritant la plus grande diaspora japonaise au monde. En revanche, le film de Vicente Amorim (THE DIVISION) impressionne par la mise en scène stylée de ses séquences d’action et l’élégance de sa direction photo, des qualités qui évoquent parfois l’éclat flamboyant des films de la série JOHN WICK. Dans le rôle-titre, la chanteuse MASUMI fait des débuts prometteurs, habilement secondée par l’acteur irlandais Jonathan Rhys Meyers, crédible dans le rôle pourtant invraisemblable d’un "gaijin" américain à la fois amnésique et sûr de lui.

Texte : Georges Privet

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