Palmer
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Palmer

2021
Récemment sorti de prison, un ex-footballeur se fait le protecteur d'un garçon efféminé négligé par sa mère toxicomane.
Variation adroite sur un motif connu. Traitement délicat et anti-militant. Réalisation compétente et tranquille. Musique artificielle. Tandem fort composé de J. Timberlake et R. Allen.

L'avis de Mediafilm

Variation sur le motif rédempteur de l'homme et l'enfant (ABOUT A BOY, ST.VINCENT), PALMER passe par toutes les escales connues du genre. Avec adresse cependant et une sorte de mélancolie. Celle-ci s'exprime tendrement dans la réalisation compétente et tranquille de Fisher Stevens (STAND UP GUYS), plus artificiellement dans la guitare acoustique de Tamar-kali, qui ponctue le récit. Qu'à cela ne tienne, le charme du film réside justement dans la variable présentée par l'enfant, un garçon-fille décomplexé, sur lequel les auteurs ne font peser aucun discours bien-pensant ou militant. Sam n'est pas une victime, ni un emblème LGBTQ. C'est là l'essentiel à retenir de lui. Ryder Allen, 8 ans, le campe avec beaucoup d'aplomb, face à un Justin Timberlake taiseux, qui laisse parler son charisme naturel et la fêlure de son personnage trouver son chemin vers le spectateur.

Synopsis

Année

2021

Genre

Drame

Durée

110 min.

Origine

États-Unis

Information

Genre

Drame

Année

2021

Durée

110 min.

Réalisation

Images

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