Margrete: Queen of the North

Dan. 2021. Drame biographique de Charlotte Sieling avec Trine Dyrholm, Soren Malling, Morten Hee Andersen. En 1402, la reine Margrete fait face à une conspiration pour mettre fin à son règne pacifique sur le Danemark, la Suède et la Norvège. Évocation historique luxueuse, de dimension épique. Paysages majestueux. Interprétation fade et empesée, mettant l'émotion à distance.

Margrete: Queen of the North (Margrete: Queen of the North)

Dan. 2021. Drame biographique de Charlotte Sieling avec Trine Dyrholm, Soren Malling, Morten Hee Andersen.

En 1402, la reine Margrete fait face à une conspiration pour mettre fin à son règne pacifique sur le Danemark, la Suède et la Norvège. Évocation historique luxueuse, de dimension épique. Paysages majestueux. Interprétation fade et empesée, mettant l'émotion à distance.

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Genre :

Drame biographique

Année :

2021

Durée :

120 min.

Réalisation :

Charlotte Sieling

Scénario :

Jesper Fink
Maya Ilsoe
Charlotte Sieling

Photographie :

Rasmus Videbaek

Musique :

Jon Ekstrand

Montage :

Sverrir Kristjánsson

Pays :

Danemark

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Trine Dyrholm
Soren Malling
Morten Hee Andersen
Jakob Oftebro
Bjorn Floberg
Magnus Krepper

En 1402, la reine Margrete parvient à maintenir l’union pacifique de Kalmar, formée des royaumes scandinaves du Danemark, de la Suède et de la Norvège. Pour gouverner ce vaste territoire, la souveraine peut compter sur son fils adoptif, Erik. Mais dans l’ombre, des ennemis conspirent. Pour les déjouer et préserver la paix, Margrete manoeuvre afin qu'Erik épouse une princesse anglaise.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Signé par Charlotte Sieling, connue pour ses réalisations d’épisodes de séries mettant également en scène des femmes fortes ("Borgen", "Homeland"), ce premier film biographique sur la reine Margrete manie correctement le registre épique: paysages nordiques majestueux, musique grandiose, magnifiques scènes nocturnes. L'interprétation de cette production de luxe danoise n'atteint toutefois pas la même hauteur. Ainsi, dans le rôle-titre, la pourtant talentueuse Trine Dyrholm (POUR LE MEILLEUR ET POUR LE PIRE, NICO 1988) livre une prestation fade et empesée. À l'instar de ses partenaires. Cette rigidité généralisée dans le jeu empêche l’adhésion émotionnelle du spectateur et confère un caractère factice à l'entreprise.

Texte : Céline Gobert

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