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La Purge éternelle (The Forever Purge)

É.-U. 2021. Drame d'horreur de Everardo Gout avec Ana de la Reguera, Tenoch Huerta, Josh Lucas. Au lendemain de la purge annuelle, un couple mexicain, qui a fui les cartels pour travailler au Texas, est ciblé par des miliciens qui poursuivent les hostilités. Cinquième volet inégal d'une série dystopique. Scénario s'essoufflant rapidement. Parallèles sociopolitiques évidents. Réalisation efficace. Interprétation convaincante. (sortie en salle: 2 juillet 2021)

13 ans + (violence, langage vulgaire)
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La Purge éternelle (The Forever Purge)

13 ans + (violence, langage vulgaire) 13 ans + (violence, langage vulgaire)

É.-U. 2021. Drame d'horreur de Everardo Gout avec Ana de la Reguera, Tenoch Huerta, Josh Lucas.

Au lendemain de la purge annuelle, un couple mexicain, qui a fui les cartels pour travailler au Texas, est ciblé par des miliciens qui poursuivent les hostilités. Cinquième volet inégal d'une série dystopique. Scénario s'essoufflant rapidement. Parallèles sociopolitiques évidents. Réalisation efficace. Interprétation convaincante. (sortie en salle: 2 juillet 2021)

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Dans une Amérique où l'on célèbre une fois l'an le rituel de la Purge - une nuit complète au cours de laquelle tous les crimes sont permis -, Adela et Juan, deux travailleurs mexicains ayant fui les cartels pour travailler au Texas, bénéficient de la protection de leur riche employeur. Mais le couple se retrouve la cible d'attaques racistes, quand des milliers de miliciens décident de prolonger la Purge bien au-delà de sa fin officielle. Au risque de déclencher une nouvelle guerre civile.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce cinquième volet d'une série dystopique, au carrefour de l'horreur et du film d'action, brosse plus que jamais un portrait des dérives de l'Amérique de Trump. Difficile de ne pas penser à l'assaut du Capitole, le 6 janvier 2021, en voyant parader ici des miliciens déchaînés, affublés de cornes et de drapeaux déchirés, décidés à "reprendre leur pays" par la force. La métaphore est puissante, mais son exploitation reste inégale, tout comme le scénario, qui s'essouffle rapidement. Heureusement, la réalisation s'avère efficace, les interprètes font montre de conviction et la finale est d'une ironie savoureuse.

Texte : Georges Privet

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