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Fear Street Part Three - 1666

É.-U. 2021. Drame d'horreur de Leigh Janiak avec Kiana Madeira, Ashley Zukerman, Gillian Jacobs. Une adolescente d'une bourgade de la Nouvelle-Angleterre est transportée en 1666, dans le corps d’une victime d’une chasse aux sorcières. Dernier volet d’une trilogie atypique. Scénario prévisible. Réalisation efficace mais peu inspirée. Interprètes mal à l’aise.

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Fear Street Part Three - 1666 (Fear Street Part Three - 1666)

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É.-U. 2021. Drame d'horreur de Leigh Janiak avec Kiana Madeira, Ashley Zukerman, Gillian Jacobs.

Une adolescente d'une bourgade de la Nouvelle-Angleterre est transportée en 1666, dans le corps d’une victime d’une chasse aux sorcières. Dernier volet d’une trilogie atypique. Scénario prévisible. Réalisation efficace mais peu inspirée. Interprètes mal à l’aise.

Genre :
Année :
Réalisation :
Scénario :
D'après le livre de R.L. Stine
Pays :
Distributeur :
Netflix
Après avoir enquêté sur la malédiction de Shadyside, frappée par des meurtres en série en 1994 et en 1978, Deena Johnson se retrouve mystérieusement transportée dans le corps de Sarah Fier, au XVIIe siècle. Shadyside est alors une colonie puritaine peuplée de dévots, victimes d’incidents troubles dans lesquels plusieurs voient la main du diable. Il n’en faut pas plus pour que les villageois superstitieux organisent une chasse aux sorcières, qui cible en tout premier lieu Sarah Fier et son amante. Le sort qui leur est réservé aura des conséquences funestes pour l’avenir de cette petite bourgade de la Nouvelle-Angleterre.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Contrairement aux deux premiers volets, qui s’inspiraient des sagas SCREAM (pour la partie 1994) et FRIDAY THE 13TH (pour la partie 1978), cet épisode ultime d'une trilogie atypique ne fait pas référence à une autre série de films d’horreur. Sans les détournements et commentaires sur le genre, qui faisaient l’originalité des deux premiers films, celui-ci a plus de difficulté à s'imposer. D’autant que le contexte historique ne permet guère ici l'emploi des chansons d’époque et des clins d’oeil culturels qui faisaient merveille dans les volets antérieurs. De fait, le scénario paraît cette fois plus prévisible et la mise en scène, moins inspirée. Et les jeunes acteurs, qui ont habilement porté la série jusque-là, semblent cette fois mal à l’aise dans leurs costumes d'époque. Reste un regard plutôt original sur les liens entre le puritanisme, l’intolérance et la diversité.

Texte : Georges Privet

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