Nadia Butterfly
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Nadia, Butterfly

G
2020
Aux Jeux olympiques de 2020 à Tokyo, une nageuse québécoise ayant annoncé sa retraite anticipée subit diverses pressions pour qu'elle renonce à sa décision.
Récit initiatique sensible. Thèmes porteurs mais insuffisamment approfondis. Réalisation fluide et maîtrisée. Jeu naturel d'interprètes non professionnelles.

L'avis de Mediafilm

Après le délicat LES FAUX TATOUAGES, Pascal Plante revient avec une oeuvre plus ambitieuse et exigeante, offrant une variation originale et humaniste sur l'ambition et le dépassement de soi. Le lien complexe, ambigu, entre l'athlète et sa passion est évoqué au fil d'un récit initiatique mis en scène avec fluidité et une grande maîtrise technique. Le premier droit, haletant, vibre au rythme d'une course incertaine. Puis, le film opère un changement de ton radical pour se concentrer sur les tourments psychologiques de l'héroïne. Atmosphérique et impressionniste, ce second volet délibérément taiseux séduit par sa sensibilité, à l'instar de la touchante scène de confidences sur la plage au petit matin. Reste que Plante peine à approfondir ses thèmes (individualisme, isolement, marginalité, etc.), ainsi qu'à bien cerner les motivations de sa protagoniste. Celle-ci est incarnée avec naturel par la nageuse Katerine Savard, qui partage une belle complicité avec sa consoeur Ariane Mainville, elle aussi comédienne non professionnelle.

Charles-Henri Ramond

Synopsis

(sortie en salle le 18 septembre 2020)

Année

2020

Genre

Drame sportif

Durée

107 min.

Origine

Canada

Information

Classification

G

Genre

Drame sportif

Année

2020

Durée

107 min.

Réalisation

Scénario

Images

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