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La Femme à la fenêtre (The Woman in the Window)

É.-U. 2021. Thriller de Joe Wright avec Amy Adams, Fred Hechinger, Wyatt Russell. Une psychologue agoraphobe, qui a assisté depuis sa fenêtre à un meurtre commis chez ses voisins d'en face, ouvre sa propre enquête quand son témoignage n'est pas pris au sérieux. Variation ludique sur les classiques du thriller. Dénouement problématique. Mise en scène soignée et efficace, multipliant clins d'oeil et hommages. Acteurs de premier plan.

En attente de classement
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La Femme à la fenêtre (The Woman in the Window)

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É.-U. 2021. Thriller de Joe Wright avec Amy Adams, Fred Hechinger, Wyatt Russell.

Une psychologue agoraphobe, qui a assisté depuis sa fenêtre à un meurtre commis chez ses voisins d'en face, ouvre sa propre enquête quand son témoignage n'est pas pris au sérieux. Variation ludique sur les classiques du thriller. Dénouement problématique. Mise en scène soignée et efficace, multipliant clins d'oeil et hommages. Acteurs de premier plan.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Tracy Letts
D'après le roman de A.J. Finn
Photographie :
Musique :
Montage :
Vivant cloîtrée dans sa demeure new-yorkaise en raison de son agoraphobie, Anna Fox espionne à l'occasion, depuis sa fenêtre, la famille qui habite en face de chez elle. L'existence réglée de la psychologue pour enfants bascule le jour où elle assiste, impuissante, à un meurtre commis chez ces mêmes voisins. Confrontée au scepticisme de son entourage, Anna entreprend de résoudre l'affaire par ses propres moyens.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Clairement inspiré par REAR WINDOW et WITNESS TO MURDER, ce thriller, tiré du roman de A.J. Finn, se présente comme une variation ludique sur les classiques du genre. Surtout connu pour ses adaptations littéraires et ses films historiques (PRIDE AND PREJUDICE, ATONEMENT, DARKEST HOURS), Joe Wright plonge ici en eaux hitchcockiennes avec un enthousiasme manifeste. Si le film ne brille pas par son originalité (même son titre reprend celui d'un classique de Fritz Lang), sa réalisation n'en reste pas moins habile et soignée, riche en clins d'oeil et en hommages cinéphiliques. Réflexion sur la subjectivité du regard et des perceptions, cet exercice de style jouissif est toutefois plombé par d'inévitables invraisemblances et un dénouement problématique, qui aurait été réécrit et refilmé par Tony Gilroy (MICHAEL CLAYTON). D'où le manque d'homogénéité de l'ensemble, qui se laisse tout de même voir avec plaisir, grâce au talent d'acteurs de premier plan.

Texte : Georges Privet

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