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Le Dernier Nataq

Can. 2019. Documentaire de Lisette Marcotte . Exploration des liens entre l'oeuvre de Richard Desjardins et la ville de Rouyn-Noranda, à l'heure où des peintres muralistes s'attaquent à une fresque lui rendant hommage. Essai éclairant sur les liens entre l'artiste et le pays qui l'inspire. Trame nouant habilement propos, chansons et données historiques. Témoignages sentis et stimulants. (sortie en salle: 23 avril 2021)

Général
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Le Dernier Nataq (Le Dernier Nataq)

Général Général

Can. 2019. Documentaire de Lisette Marcotte .

Exploration des liens entre l'oeuvre de Richard Desjardins et la ville de Rouyn-Noranda, à l'heure où des peintres muralistes s'attaquent à une fresque lui rendant hommage. Essai éclairant sur les liens entre l'artiste et le pays qui l'inspire. Trame nouant habilement propos, chansons et données historiques. Témoignages sentis et stimulants. (sortie en salle: 23 avril 2021)

Genre :
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Pays :
Distributeur :
Productions La Vie Devant Soi
Producteurs :
Quels sont les liens entre Richard Desjardins et le pays qui l'a vu naitre? Comment l'Abitibi-Témiscamingue a-t-elle influencé son oeuvre et sa vision du monde? Et comment ses chansons et ses films ont-ils influencé en retour la population et les artistes de la région? Ce documentaire profite de la création, par des peintres muralistes de Rouyn-Noranda, d'une fresque rendant hommage à Desjardins et à son oeuvre, pour répondre à ces questions.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Portée par son amour évident pour l'auteur de "Tu m'aimes-tu", la documentariste Lisette Marcotte (TRISOMIE 21 - LE DÉFI PÉROU) signe un essai éclairant sur l'oeuvre de Richard Desjardins et le pays qui l'inspire. Le film impressionne d'emblée par l'aisance avec laquelle les propos de l'artiste sont noués à des données historiques essentielles à la compréhension de ses compositions musicales et de ses documentaires. La création de la fresque constitue un fil conducteur idéal, qui permet de négocier adroitement les va-et-vient narratifs imposés par le sujet, tout en restant clairement ancré dans le présent. Si la réalisation est souple et empathique, on regrette parfois qu'elle ne soit pas un peu plus poétique (ses tentatives, dans ce domaine, se limitent à la belle image du scaphandrier dans le désert, qui ouvre le film sans trouver d'autres échos par la suite). L'intérêt est néanmoins maintenu, grâce à la structure habile et le montage fluide, qui mettent de l'avant les témoignages sentis et stimulants.

Texte : Georges Privet

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