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Brightburn - L'enfant du mal (Brightburn)

É.-U. 2019. Drame d'horreur de David Yarovesky avec Jackson A. Dunn, Elizabeth Banks, David Denman. Recueilli bébé dans un astronef-météore par un couple de fermiers sans enfants du Kansas, un garçon développe à douze ans d'étranges pouvoirs destructeurs. Subversion sans profondeur du mythe de Superman. Meurtres sanglants au protocole redondant. Effets spéciaux techniquement réussis. Interprètes peu convaincants. (sortie en salle: 24 mai 2019)

13 ans + (violence, horreur)
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Brightburn - L'enfant du mal (Brightburn)

13 ans + (violence, horreur) 13 ans + (violence, horreur)

É.-U. 2019. Drame d'horreur de David Yarovesky avec Jackson A. Dunn, Elizabeth Banks, David Denman.

Recueilli bébé dans un astronef-météore par un couple de fermiers sans enfants du Kansas, un garçon développe à douze ans d'étranges pouvoirs destructeurs. Subversion sans profondeur du mythe de Superman. Meurtres sanglants au protocole redondant. Effets spéciaux techniquement réussis. Interprètes peu convaincants. (sortie en salle: 24 mai 2019)

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Au Kansas en 2006, un couple de fermiers sans enfants, Tori et Kyle Bryer, adopte un bébé trouvé dans un astronef-météore tombé du ciel. À douze ans, le garçon, maintenant appelé Brandon, développe d'étranges pouvoirs destructeurs en découvrant ses origines extraterrestres. Il adopte alors un comportement déviant en s'en prenant d'abord aux animaux de la ferme, puis en terrorisant une camarade de classe. Kyle a tôt fait de critiquer les faits et gestes de son fils adoptif, mais Tori continue de le protéger. Son sentiment change lorsque Brandon se met à éliminer ses proches et à semer la terreur dans la petite communauté de Brightburn.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce drame d'horreur effleure une idée - subvertir le mythe de Superman en le rendant maléfique - explorée avec davantage de profondeur et d'aplomb dans CHRONICLE, WATCHMEN et même dans certaines scènes de MAN OF STEEL. Cette variation côté obscur présente un personnage d'enfant démoniaque dans la lignée de THE OMEN, dans une intrigue qui bascule de manière tout à fait banale dans le "slasher", avec ses mises à mort de plus en plus sanglantes. Les personnages unidimensionnels, à la psychologie douteuse, ne servent ici que de "chair à garçon". Malgré des effets spéciaux techniquement réussis et des scènes de gore bien relevées, le réalisateur abuse de procédés redondants (il est là, il n'est plus là, il est derrière). L'interprétation d'ensemble manque de convaincre et le petit Jackson A. Dunn ne joue que sur une seule note.

Texte : André Caron

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