Can. 2018. Documentaire de Michka Saal . L'artiste visuelle torontoise Anne J. Gibson a trouvé dans la pratique de la photographie de rue un moyen de se libérer de sa dépendance aux drogues dures. Portrait intimiste d'une femme marquée. Illustration sensible des vertus thérapeutiques de l'art. Traitement pudique. Réalisation sobre. Témoignages touchants. (sortie en salle: 30 novembre 2018)
L'artiste visuelle torontoise Anne J. Gibson a trouvé dans la pratique de la photographie de rue un moyen de se libérer de sa dépendance aux drogues dures. Portrait intimiste d'une femme marquée. Illustration sensible des vertus thérapeutiques de l'art. Traitement pudique. Réalisation sobre. Témoignages touchants. (sortie en salle: 30 novembre 2018)
Avec ce portrait intimiste d'une femme marquée par la violence et la marginalité, Michka Saal (L'ARBRE QUI DORT RÊVE À SES RACINES) livre une illustration sensible des vertus thérapeutiques de l'art. Le traitement pudique de ce sujet grave, allié à la sobriété de la réalisation, met bien en valeur les témoignages touchants de la protagoniste.
Texte : Charles-Henri Ramond