Can. 2018. Documentaire de Guillaume Sylvestre . Un camp de vacances québécois accueille chaque année 300 déficients intellectuels et handicapés, encadrés par une centaine de moniteurs âgés de 16 à 20 ans. Regard sensible et touchant, desservi par une ligne narrative manquant de force. Montage peu rigoureux. Photographie plutôt terne. Mise en scène attentive, en prise directe sur le réel. (sortie en salle: 6 juin 2019)
Un camp de vacances québécois accueille chaque année 300 déficients intellectuels et handicapés, encadrés par une centaine de moniteurs âgés de 16 à 20 ans. Regard sensible et touchant, desservi par une ligne narrative manquant de force. Montage peu rigoureux. Photographie plutôt terne. Mise en scène attentive, en prise directe sur le réel. (sortie en salle: 6 juin 2019)
Le réalisateur de DURS À CUIRE et DPJ poursuit dans la veine de son cinéma en prise directe sur le réel avec ce portrait de groupe sensible et touchant. Dommage toutefois que la ligne narrative manque de force, le montage de rigueur et la photographie de relief.