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Vie (Life)

É.-U. 2017. Science-fiction de Daniel Espinosa avec Jake Gyllenhaal, Rebecca Ferguson, Olga Dihovichnaya. Prélevé sur Mars, un organisme unicellulaire se transforme en une entité monstrueuse qui s'attaque aux six scientifiques de la station spatiale internationale chargés de l'étudier. Thriller d'horreur spatial inspiré de modèles supérieurs. Dialogues de qualité inégale. Dénouement efficace et habile. Conception visuelle léchée mais empruntée. Bons interprètes. (sortie en salle: 24 mars 2017)

13 ans + (horreur)
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Vie (Life)

13 ans + (horreur) 13 ans + (horreur)

É.-U. 2017. Science-fiction de Daniel Espinosa avec Jake Gyllenhaal, Rebecca Ferguson, Olga Dihovichnaya.

Prélevé sur Mars, un organisme unicellulaire se transforme en une entité monstrueuse qui s'attaque aux six scientifiques de la station spatiale internationale chargés de l'étudier. Thriller d'horreur spatial inspiré de modèles supérieurs. Dialogues de qualité inégale. Dénouement efficace et habile. Conception visuelle léchée mais empruntée. Bons interprètes. (sortie en salle: 24 mars 2017)

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À bord de la station spatiale internationale, le docteur Hugh Derry décèle dans des poussières prélevées sur Mars un organisme unicellulaire qui s'anime sous l'effet du glucose et dans une atmosphère simulant celle de notre planète. Sous la supervision de la chef de mission Ekaterina Golovkina et de l'officier de quarantaine Miranda North, le microbiologiste poursuit avec enthousiasme l'étude de ce qui est désormais considéré comme la première preuve d'une forme de vie extraterrestre. Laquelle, grâce à une étonnante capacité de croissance, se transforme bientôt en un croisement entre une gracieuse petite fleur et un octopode. Après une bévue commise dans le compartiment du laboratoire, Derry retrouve son sujet de recherche dans un état léthargique. Pour le stimuler, il décide de lui administrer une faible décharge électrique. Mal lui en prit. Ranimée, la créature grandit à vue d'oeil et s'évade dans la station spatiale. Le cauchemar du biologiste et de ses cinq collègues ne fait que commencer.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ersatz d'ALIEN, mâtiné de GRAVITY pour la conception visuelle et le thème du sacrifice, LIFE peine à trouver son identité. Le film s'ouvre, comme celui d'Alfonso Cuaron, sur un long plan-séquence en apesanteur, qui détaille de l'intérieur l'habitacle spatial et présente les six protagonistes. La suite est moins concluante. Techniquement léché, ce thriller d'horreur de Daniel Espinosa (SAFE HOUSE, CHILD 44) est en effet insuffisamment nourri au plan dramatique et plutôt mou côté suspense. Exception faite des quinze dernières minutes, efficaces et tendues, qui débouchent sur un coup de théâtre assez habile, quoique pas très difficile à deviner. Cela dit, l'ensemble se prend trop au sérieux, même lors de passages à la limite du ridicule. Ce qui déçoit un peu de la part des coauteurs Rhett Reese et Paul Wernick, scénaristes des irrévérencieux ZOMBIELAND et DEADPOOL. Bien que très investis, les talentueux acteurs peinent à donner chair à leurs personnages, sommairement dessinés et pas toujours gâtés par la qualité de leurs répliques.

Texte : Louis-Paul Rioux

COMMENTAIRES

08 août 2018, 09:47:12

Par : Michaël Gagnon, Sherbrooke

Impression de déjà-vu agaçant. Scénario prévisible. Quelques séquences angoissantes. Effets visuels réussis, mais peu originaux. Ensemble plutôt moyen et répétitif. Interprétation dans le ton.

J'attribue à ce film la Cote 3


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