Remarquable

Game of Death

Name: Game of Death
Director: Sébastien Landry, Laurence Morais-Lagace
Genre: Drame d'horreur
Released: 2020-07-24 14:27:57
Duration: 73 min.

Fr. 2017. Drame d'horreur de Sébastien Landry, Laurence Morais-Lagace avec Samuel Earle, Victoria Diamond, Emelia Hellman. Sept amis en vacances se retrouvent prisonniers d'un jeu de société, dont la règle consiste à exterminer 24 personnes avant de pouvoir mettre fin à la partie. Film d'exploitation vulgaire et dénué de tension. Touches d'humour noir bienvenues. Effets visuels efficaces. Interprétation limitée.

Game of Death (Game of Death)

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Fr. 2017. Drame d'horreur de Sébastien Landry, Laurence Morais-Lagace avec Samuel Earle, Victoria Diamond, Emelia Hellman.

Sept amis en vacances se retrouvent prisonniers d'un jeu de société, dont la règle consiste à exterminer 24 personnes avant de pouvoir mettre fin à la partie. Film d'exploitation vulgaire et dénué de tension. Touches d'humour noir bienvenues. Effets visuels efficaces. Interprétation limitée.

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Genre :

Drame d'horreur

Année :

2017

Durée :

73 min.

Réalisation :

Sébastien Landry
Laurence Morais-Lagace

Scénario :

Sébastien Landry
Laurence Morais-Lagace
Edouard H. Bond

Photographie :

Simon-Pierre Gingras

Musique :

Julien Mineau

Montage :

Olivier Guillemette

Pays :

France
Canada
Québec
États-Unis

Distributeur :

n/d

Producteurs :

Mathias Bernard
Pierre-Alexandre Bouchard
Philip Kalin-Hajdu

Interprètes :

Samuel Earle
Victoria Diamond
Emelia Hellman
Catherine Saindon
Erniel Baez
Nick Serino

Sept amis en vacances dénichent un vieux jeu de société dans la cave du chalet. Sans se rendre compte des implications, ils acceptent la règle, qui consiste à exterminer 24 personnes avant de pouvoir terminer la partie. S'ils n'y arrivent pas, leur tête explosera.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Exploitant au pied de la lettre la violence gratuite de certains jeux vidéo, cette version gore de NATURAL BORN KILLERS évite le naufrage grâce à quelques touches d'humour noir bienvenues. La vulgarité du récit, l'absence de tension et l'interprétation limitée plombent un ensemble par ailleurs rythmé et visuellement efficace.

Texte : Charles-Henri Ramond

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