Shark Lake
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Shark Lake

2015
Alors que des requins attaquent des plaisanciers qui se baignent dans un paisible lac, une jeune policière voit resurgir dans sa vie un truand qu'elle a arrêté cinq ans plus tôt.
Intrigue archiprévisible et bourrée de clichés. Réalisation maladroite et souvent racoleuse. Effets spéciaux frisant l'amateurisme. Musique surlignant l'action. Jeu inexpressif de D. Lundgren.

L'avis de Mediafilm

Coproduite par Dolph Lundgren, cette série Z ringarde afflige le spectateur plus qu'elle ne l'effraie, tout en lui arrachant ici et là quelques sourires involontaires devant tant de médiocrité: intrigue invraisemblable et bourrée de clichés ou d'emprunts à JAWS, réalisation maladroite (difficile de croire à la présence d'un gros squale mangeur d'hommes dans moins d'un mètre d'eau), cadrages racoleurs (les plans sur les fesses des jolies baigneuses ne manquent pas), musique surlignant lourdement l'action, rythme poussif, absence totale de tension... Les trucages et effets spéciaux sont à l'avenant, c'est-à-dire ridicules. Fidèle à lui-même, Lundgren est aussi inexpressif que les requins qu'il pourchasse sans conviction.

Olivier Lefébure

Synopsis

Année

2015

Genre

Thriller

Durée

92 min.

Origine

États-Unis