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Shark Lake

É.-U. 2015. Thriller de Jerry Dugan avec Sara Malakul Lane, Dolph Lundgren, Lily Brooks O'Briant. Alors que des requins attaquent des plaisanciers qui se baignent dans un paisible lac, une jeune policière voit resurgir dans sa vie un truand qu'elle a arrêté cinq ans plus tôt. Intrigue archiprévisible et bourrée de clichés. Réalisation maladroite et souvent racoleuse. Effets spéciaux frisant l'amateurisme. Musique surlignant l'action. Jeu inexpressif de D. Lundgren.

13 ans + (horreur)
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Shark Lake (Shark Lake)

13 ans + (horreur) 13 ans + (horreur)

É.-U. 2015. Thriller de Jerry Dugan avec Sara Malakul Lane, Dolph Lundgren, Lily Brooks O'Briant.

Alors que des requins attaquent des plaisanciers qui se baignent dans un paisible lac, une jeune policière voit resurgir dans sa vie un truand qu'elle a arrêté cinq ans plus tôt. Intrigue archiprévisible et bourrée de clichés. Réalisation maladroite et souvent racoleuse. Effets spéciaux frisant l'amateurisme. Musique surlignant l'action. Jeu inexpressif de D. Lundgren.

Aux abords du majestueux Lake Tahoe, un vieil homme est retrouvé mort, un bras arraché. L'attaque est attribuée à un ours. Mais la réalité est toute autre, car le retraité a en fait été tué par un requin qui, inexplicablement, vit dans les eaux calmes du lac. En charge du dossier, la jeune policière Meredith Hernandez alerte les autorités du danger, mais le squale poursuit ses attaques meurtrières. La tâche de la jeune femme se complique avec le retour de Clint Gray, un truand qu'elle a arrêté cinq ans plus tôt et dont elle a adopté la petite fille. Or, l'homme, qui veut revoir son enfant, n'est pas étranger à la surprenante présence du terrible prédateur dans les parages...

L’AVIS DE MEDIAFILM

Coproduite par Dolph Lundgren, cette série Z ringarde afflige le spectateur plus qu'elle ne l'effraie, tout en lui arrachant ici et là quelques sourires involontaires devant tant de médiocrité: intrigue invraisemblable et bourrée de clichés ou d'emprunts à JAWS, réalisation maladroite (difficile de croire à la présence d'un gros squale mangeur d'hommes dans moins d'un mètre d'eau), cadrages racoleurs (les plans sur les fesses des jolies baigneuses ne manquent pas), musique surlignant lourdement l'action, rythme poussif, absence totale de tension... Les trucages et effets spéciaux sont à l'avenant, c'est-à-dire ridicules. Fidèle à lui-même, Lundgren est aussi inexpressif que les requins qu'il pourchasse sans conviction.

Texte : Olivier Lefébure

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