La plupart du temps puériles, parfois inutilement burlesques, plusieurs scènes se succèdent dans un esprit potache, sans nécessairement construire une intrigue qu’on aurait plaisir à suivre – la narrativité est ici bien sommaire et reste au ras des pâquerettes.

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Avec LES VACANCES DU PETIT NICOLAS, Laurent Tirard signe une deuxième adaptation convaincante et plus personnelle des aventures du petit héros imaginé par René Goscinny et Jean-Jacques Sempé.

(...) l'enchaînement de saynètes [que le réalisateur Laurent Tirard] met bout à bout évoque-t-il plus spontanément une bande démo de chef décorateur (Françoise Dupertuis, en l'occurrence) que la comédie de l'été que l'on veut nous vendre.

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Au final, le vent de nostalgie et de naïveté qui souffle sur ces Vacances, (...) la reconstitution volontairement carton-pâte de l'époque et la mise en musique du tout débouchent sur un film charmant ponctué de moments adorables.

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Encore une fois, la production n’a pas lésiné sur le charme rétro. Encore une fois, aussi, la réalisation (...) respecte l’esprit, la lettre et le graphisme de Goscinny et Sempé. (...) Cependant, il faut être converti à l’univers des romans illustrés pour trouver matière à pâmoison (...)

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