É.-U. 2012. Comédie sentimentale de Justin Zackham avec Diane Keaton, Robert De Niro, Katherine Heigl. À l'occasion du mariage de leur fils adoptif, un sculpteur et son ex-épouse doivent feindre d'être encore en couple afin de ne pas offenser la mère naturelle de celui-ci. Farce ringarde et vulgaire inspirée d'une comédie franco-suisse. Situations au ras des pâquerettes. Réalisation sans finesse. Distribution gaspillée. (sortie en salle: 26 avril 2013)
À l'occasion du mariage de leur fils adoptif, un sculpteur et son ex-épouse doivent feindre d'être encore en couple afin de ne pas offenser la mère naturelle de celui-ci. Farce ringarde et vulgaire inspirée d'une comédie franco-suisse. Situations au ras des pâquerettes. Réalisation sans finesse. Distribution gaspillée. (sortie en salle: 26 avril 2013)
Il n'y a pas grand chose à sauver dans cette production ringarde et vulgaire, inspirée d'une comédie franco-suisse (MON FRÈRE SE MARIE) inédite en salles au Québec. Celle-ci est actionnée par une intrigue digne d'une mauvaise sitcom (qu'une bonne aurait pu faire étinceler), ainsi qu'une distribution de calibre dont on suppose (et espère) qu'elle a été trompée sur la marchandise. Les situations téléphonées, l'humour au ras des pâquerettes, le décor de magazine et la réalisation sans finesse alourdissent le bilan de cette farce qui sombre dans l'abîme dès son amorce.
Texte : Martin Bilodeau
Isabelle Hontebeyrie - Le Journal de Montréal
Pour justifier l'aspect "comédie" (...), les gags éculés foisonnent. J'avoue d'ailleurs qu'entre une scène de cunnilingus (...), une de vomi, une de baise et une de chute dans une piscine, (...) il n'y a pas vraiment de quoi rigoler.
Rick Groen - The Globe and Mail
(...) it's just such a shining example of a dull studio comedy. (...) [Diane Keaton] is a regular habitué of this formulaic schtick; [Robert De Niro], sadly, is becoming so; and Sarandon might have been keen for the paycheque.
Martin Bilodeau - Le Devoir
Au final, on se demande comment cette comédie, morte sur la ligne de départ et momifiée à l'arrivée, a pu se frayer un chemin jusqu'au grand écran. (...) cette production ringarde (...) n'a de big que le nom.
Katherine Monk - The Gazette
(...) THE BIG WEDDING is just too irritating, too self-important and too predictable to embrace as it cannonballs into the stagnant pond of wedding cliché wearing a cheesy grin and a cheap, white suit.
Sonia Sarfati - La Presse
Une comédie romantique ni drôle ni romantique, où on tente de faire rire en faisant vomir Katherine Heigl (...). Hilarant, non? (...) il faut fuir cette réunion familiale non inspirée dont la prémisse est tirée par les cheveux.