Iran. 2011. Drame de Asghar Farhadi avec Peyman Maadi, Leila Hatami, Sareh Bayat. Après le départ de son épouse, un homme entre en conflit avec la jeune mère qu'il a engagée pour prendre soin de son père atteint de la maladie d'Alzheimer. Fascinante radiographie du peuple iranien. Scénario riche, aux ellipses subtiles. Réalisation vive, précise. Performances admirables de justesse. (sortie en salle: 24 février 2012)
Après le départ de son épouse, un homme entre en conflit avec la jeune mère qu'il a engagée pour prendre soin de son père atteint de la maladie d'Alzheimer. Fascinante radiographie du peuple iranien. Scénario riche, aux ellipses subtiles. Réalisation vive, précise. Performances admirables de justesse. (sortie en salle: 24 février 2012)
À partir d'une banale rupture de couple, Asghar Farhadi (LA FÊTE DU FEU, À PROPOS D'ELLY, inédits en salles au Québec) procède à une fascinante radiographie du peuple iranien, sous ses dimensions sociales, légales, familiales et religieuses. D'une grande concision, ponctué de subtiles ellipses, le scénario s'enrichit d'une passionnante réflexion sur la vérité et ses multiples facettes. Entendu dans son sens métaphorique, UNE SÉPARATION illustre avec intelligence et éloquence toutes les formes de clivage dans la société iranienne et ce, sans jamais sombrer dans le didactisme. Vive, portée par une caméra constamment en mouvement mais toujours présente aux endroits stratégiques, la mise en scène de Farhadi est d'une précision exemplaire. Le résultat est un travail d'orfèvrerie et de sociologie politique de haut vol, qui a valu à son auteur l'Ours d'or au festival de Berlin en 2011. Et, fait inusité, un Ours d'argent a été attribué à toutes les femmes de la distribution et un autre à tous les interprètes masculins. Des distinctions amplement méritées pour des performances admirables de justesse et de sensibilité.
Texte : Louis-Paul Rioux
Par : Jason Plante, Gatineau
Oups! Et puis j'avais oublie l'incident de la vente du piano vs. les lecons de pianos qu'avais Therme ensuite de l'incident... Mais je lui donne un 1 quand meme!!!
J'attribue à ce film la Cote
Par : Jason Plante, Gatineau
Peyman Moadi est sans doute l'acteur le plus sexy de sa generation. Tous les acteurs ont leurs doutes, leurs repliques. Malheureux de voir cette division, dans un Iran qui prone l'homophobie, de cette jeune Farhadi dechiree entre sa mere et son pere, qui doit choisir entre le libertinage de sa mere et la "racinite" de son pere...
J'attribue à ce film la Cote
Par : Alexis Laperle, Sherbrooke
Un film assez dramatique d'une grande puissance.
J'attribue à ce film la Cote