É.-U. 2011. Drame biographique de Sean McNamara avec AnnaSophia Robb, Dennis Quaid, Helen Hunt. Les difficultés d'une adolescente championne de surf qui tente de revenir à la compétition après qu'un requin tigre lui eut arraché un bras. Catalogue bébête de maximes et d'idées toutes faites. Réalisation touristique. Interprétation en surface. (sortie en salle: 8 avril 2011)
Les difficultés d'une adolescente championne de surf qui tente de revenir à la compétition après qu'un requin tigre lui eut arraché un bras. Catalogue bébête de maximes et d'idées toutes faites. Réalisation touristique. Interprétation en surface. (sortie en salle: 8 avril 2011)
On ne sait pas par où commencer pour décrire le naufrage de cette production racoleuse et bébête frappée du sceau "fait vécu". Le scénario insipide et évangélique jongle avec les clichés, les poncifs et les idées vides, tandis que la mise en scène anonyme, aux effets numériques ratés, cumule suffisamment d'images touristiques pour élaborer un calendrier illustré. L'interprétation forcée de toutes parts manque de convaincre, malgré quelques poids lourds dans la distribution, Helen Hunt et Dennis Quaid en tête. Mais leurs personnages, tout en surface, n'aident pas à creuser ce qui aurait pu être une réflexion valable sur le courage, l'épreuve et la perte de sens. SOUL SURFER se contente d'être un catalogue de maximes et d'idées toutes faites, assorti d'une intrigue fabriquée pour faire passer la pilule.
Texte : Martin Bilodeau
Jay Stone - The Gazette
Director Sean McNamara (...) fills the screen with postcard-perfect Hawaiian scenery and many scenes of young people skimming along the edges of ferocious Pacific waves, riding the curl and cracking the lip and whatnot (...). It's lovely but strangely empty: For all its well-scrubbed intentions, SOUL SURFER itself rides the tops of the waves.
Isabelle Hontebeyrie - Le Journal de Montréal
La présence de Dennis Quaid et de Helen Hunt (...) au générique ne suffit pas à élever le niveau général de cette production (...). On sombre aussi dans les clichés, notamment avec les références religieuses un peu trop appuyées. (...) Oui, on ressort rempli de bons sentiments. Mais on aurait aimé que le tout soit bien mieux «emballé».
Kirk Honeycutt - The Hollywood Reporter
Director Sean McNamara and no less than seven credited writers (...) recite the basic facts in dramatic form but give a viewer little sense of who these people (...) are or what makes them tick. (...) The 10-minute episode concerning the shark attack and rush to a nearby hospital is the best sustained sequence in the film.
Guillaume Fournier - Voir
Réalisé sans ambition ni originalité par le tâcheron Sean McNamara (...), ce fait vécu moralisateur destiné à un certain public américain en mal de récits édifiants sera rapidement oublié et remplacé par un autre produit lisse du même genre.
Roxane Hudon - Mirror
The real story may be inspirational, but the film presents an idealized plot with an invented nemesis and underdeveloped characters. Hamilton’s story deserved a way more exciting adaptation than this film that bores you instead of moving you.