Clint Eastwood's latest film, a portrait of the controversial (...) J Edgar Hoover, is both admirable and frustrating, a murky muddle of selective historical moments which comes alive when its compelling human story of sexual repression and dedicated love is at the forefront.

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Eastwood maîtrise parfaitement l'art de la caméra, ses cadrages sont impeccables. (...) L’équipe du maquillage a réalisé des prouesses en vieillissant tous les protago- nistes de manière si impressionnantes que Clint Eastwood peut aisément se permettre de filmer en gros plan.

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Apart from the makeup (...), the film’s big problem is continuity, or lack of same. Rather than follow a chronological line, Eastwood flashes back and forward throughout. It is dizzying, (...) confusing. (...) the film’s best performance comes from Armie Hammer.

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J. EDGAR est un film courageux. Imparfait, mais courageux. (...) Dans sa posture, son élocution, sa démarche, DiCaprio montre qu'il a compris la complexité de Hoover, qu'il sublime dans une composition raffinée, qui laisse paraître à la fois la fragilité et la force de l'homme.

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La matière est très riche. Clint Eastwood en tire un film intéressant. Mais on attendait davantage qu’un drame biographique bien appliqué et exsangue, duquel n’émane guère d’émotion. (...) Leonardo DiCaprio (...) n’est pas mauvais, mais il n’investit pas le personnage de l’intérieur.

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