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Hop! (Hop)

É.-U. 2011. Comédie fantaisiste de Tim Hill avec James Marsden, Kaley Cuoco, Gary Cole. Le Lapin de Pâques tente de contrecarrer les plans d'un poussin mégalomane qui entend s'approprier la fête du chocolat. Concept peu convaincant aux éléments recyclés. Humour inopérant. Réalisation inexpressive. Très bons effets spéciaux. Talent gâché des interprètes. (sortie en salle: 1 avril 2011)

Général (pour enfants)
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Hop! (Hop)

Général (pour enfants) Général (pour enfants)

É.-U. 2011. Comédie fantaisiste de Tim Hill avec James Marsden, Kaley Cuoco, Gary Cole.

Le Lapin de Pâques tente de contrecarrer les plans d'un poussin mégalomane qui entend s'approprier la fête du chocolat. Concept peu convaincant aux éléments recyclés. Humour inopérant. Réalisation inexpressive. Très bons effets spéciaux. Talent gâché des interprètes. (sortie en salle: 1 avril 2011)

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Dans les profondeurs de l'Île de Pâques se trouve cachée la fabrique de chocolat du Lapin de Pâques. Destiné à succéder sous peu à ce dernier, E.B. (Easter Bunny), son fils rebelle, préférerait poursuivre son rêve de devenir une star de la batterie. Aussi E.B. fugue-t-il vers Hollywood où il espère être remarqué par David Hasselhoff, dénicheur de talent notoire. Or, il fait plutôt la connaissance de Fred, un trentenaire glandeur qui habite encore chez ses parents, au grand dam de ceux-ci. Rapidement, E.B. rend la vie de Fred misérable avant de voir sa nouvelle existence bousculée par l'arrivée d'un trio de lapins ninjas envoyés pour le ramener au bercail. E.B. doit en effet rentrer à l'île puisque Carlos, le poulet en chef à la fabrique, s'est révélé en son absence être un dangereux mégalomane dont le dessein est de faire de la fête du chocolat celle des poussins et non plus des lapins.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Hollywood ayant dénaturé et révisé l'Halloween, l'Action de grâce, Noël et la St-Valentin, au tour de Pâques de passer à la moulinette avec HOP, une production bassement mercantile dénuée de fantaisie, de gags efficaces (le lapin qui évacue des «jelly beans» en guise de crottes n'étant pas le pire) ou simplement de répliques amusantes. La réalisation de cette ineptie a été confiée à Tim Hill, faiseur responsable du film ALVIN AND THE CHIMPMUNKS auquel HOP emprunte nombre d'éléments, dont les velléités musicales du héros animé. Ce dernier et le reste du bestiaire sont générés par de très bons effets numériques, seule vertu d'un film aux mille défauts. James Marsden n'impressionne guère mais on regrette surtout le gaspillage éhonté d'une bonne distribution de soutien, tant sur le versant humain que vocal.

Texte : François Lévesque

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