É.-U. 2011. Drame sportif de Gavin O'Connor avec Tom Hardy, Joel Edgerton, Nick Nolte. En froid depuis plusieurs années, deux frères sont appelés à s'affronter lors d'un championnat d'arts martiaux mixtes. Récit aux motifs connus intelligemment exploités. Grande richesse émotionnelle. Réalisation sur le fil. Scènes de combat prenantes. N. Nolte bouleversant. (sortie en salle: 9 septembre 2011)
En froid depuis plusieurs années, deux frères sont appelés à s'affronter lors d'un championnat d'arts martiaux mixtes. Récit aux motifs connus intelligemment exploités. Grande richesse émotionnelle. Réalisation sur le fil. Scènes de combat prenantes. N. Nolte bouleversant. (sortie en salle: 9 septembre 2011)
Pour connus qu'ils soient, les thèmes de la dualité fraternelle et de la rédemption paternelle se trouvent intelligemment exploités et renouvelés dans WARRIOR, une oeuvre d'une grande richesse émotionnelle signée Gavin O'Connor (TUMBLEWEEDS, MIRACLE, PRIDE AND GLORY). S'il se permet quelques entorses à la vraisemblance dans le but de ménager un affrontement final aux enjeux décuplés, O'Connor compense avec une mise en scène sur le fil et une caméra nerveuse, traqueuse de gros plans, d'une efficacité indéniables. Les séquences de combats, concentrées surtout dans la seconde partie, sont prenantes, voire haletantes, tandis que celles montrant l'intimité des personnages, dans la première partie, fournissent au film ses solides assises dramatiques. En frères antagonistes, Joel Edgerton (ANIMAL KINGDOM) et surtout Tom Hardy (ROCKNROLLA, INCEPTION) offrent des performances impressionnantes. Bouleversant en patriarche repentant, le vétéran Nick Nolte (CAPE FEAR, AFFLICTION) emporte toutefois la mise.
Texte : François Lévesque
François Lévesque - Le Devoir
En dépit de quelques remarques appuyées et autres invraisemblances tardives, (...) GUERRIER charrie dans son sillage musqué une charge émotionnelle énorme. (...) le jeu de Nick Nolte (...) est extraordinaire.
Kirk Honeycutt - The Hollywood Reporter
With a fractured nuclear family (...) and electrifying fight scenes (...), Gavin O'Connor's WARRIOR makes for a sturdy, visceral entertainment. It’s a long movie that feels short.
Philippe Renaud - La Presse
Le (...) récit étant prévisible, O’Connor tente d’étoffer son film en développant les histoires personnelles (...), non sans (...) finesse. Le film ne manque pas de souffle, mais les circonvolutions narra- tives sont (...) tirées par les cheveux.
Kevin Laforest - Hour Community
This potentially melodramatic and improbable story manages to remain grounded and engrossing thanks to the raw (...) approach favoured by (...) O’Connor (...) and to the powerful performances.
Véronique Harvey - Ici Week-End / 24 heures
Malgré un scénario très prévisible et largement américanisé, l'interprétation des deux acteurs principaux réussira probablement à inscrire ce film dans la course aux Oscars. (...) ils le méritent bien!
Matthew Hays - Mirror
(...) WARRIOR is a crashing bore. The fight scenes aren’t engaging enough, and the family melodrama stuff is fairly dreary; the film easily could have shed about 30 minutes from its running time.
Guillaume Fournier - Voir
Même s’il est doté d’un scénario (...) invraisemblable, GUERRIER aborde avec panache et énormément de masculinité des thématiques (...) fascinantes (...) et (...) chères au coeur des Américains.
Par : Alexis Laperle, Sherbrooke
Je n'aime pas ce genre de film, mais celui là est plus un drame de famille qu'un film de sport, c'est extrêmement émotionnel comme film et les scènes de combat sont féroces, les performances sont mémorables. Un très très bon film à ne pas manquer
J'attribue à ce film la Cote