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Une Vie qui commence

2010 · · Life Begins (ang)
100% est d'accord avec la cote
À la suite de la mort par surdose de son père médecin, son fils qui le vénérait s'approprie à l'insu de sa mère une boîte de comprimés lui ayant appartenu.
Oeuvre semi-autobiographique peu convaincante. Dialogues manquant de naturel. Quelques audaces. Mise en scène compassée. Distribution de calibre.

L'avis de Mediafilm

Ce film d'époque signé par l'homme de théâtre Michel Monty manque de convaincre en raison d'une mise en scène compassée et d'une direction artistique rendue excessivement voyante par la caméra. Le résultat est une oeuvre semi-autobiographique qui n'est pas sans qualités de jeu ou de scénario, mais qui semble figée dans une représentation théâtrale, plutôt qu'emportée par un véritable souffle cinématographique. Sur les thèmes du tabou et de l'amour père-fils, abordés avec un aplomb inégal, le récit contient en soi plusieurs idées audacieuses, sur le plan dramatique. La mort du personnage de François Papineau, à trente minutes du début, reste la plus marquante du lot. L'acteur domine du reste une distribution de calibre, empêtrée malheureusement dans des dialogues qui manquent de naturel.

Martin Bilodeau

Synopsis

Montréal, début des années 1960. Étienne Langevin vénère son père, un médecin généraliste consciencieux dont il boit les paroles et mime les faits et gestes. Père de famille modèle en surface, le docteur Jacques Langevin cache pourtant une sévère dépendance aux médicaments, qu'il dérobe à la pharmacie de l'hôpital où il travaille. Lorsqu'il est pris sur le fait par une infirmière, le président de l'hôpital, qui n'est autre que son propre père, le congédie. Dès le lendemain, Jacques se donne la mort par surdose, sous le regard horrifié et impuissant de son épouse Louise. Forcée de vendre la maison, d'installer ses trois enfants dans un appartement et de prendre un emploi, Louise a surtout fort à faire pour maintenir Étienne dans le droit chemin. À son insu, le garçon a en effet récupéré une poignée de comprimés de morphine ayant appartenu au défunt... (sortie en salle le 21 janvier 2011)

Année

2010

Genre

Drame psychologique

Durée

103 min.

Origine

Canada

Information

Genre

Drame psychologique

Année

2010

Durée

103 min.

Réalisation

Scénario

Photographie

Images

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