Fr. 2010. Comédie dramatique de Guillaume Canet avec François Cluzet, Marion Cotillard, Benoît Magimel. Alors qu'un des leurs est à l'hôpital à la suite d'un accident de moto, un groupe de trentenaires parisiens décide malgré tout de partir en vacances au bord de la mer. Portrait de génération riche en personnages contrastés. Récit plutôt superficiel et anecdotique. Mise en scène efficace au rythme soutenu. Distribution imposante. (sortie en salle: 15 avril 2011)
Général Fr. 2010. Comédie dramatique de Guillaume Canet avec François Cluzet, Marion Cotillard, Benoît Magimel.
Alors qu'un des leurs est à l'hôpital à la suite d'un accident de moto, un groupe de trentenaires parisiens décide malgré tout de partir en vacances au bord de la mer. Portrait de génération riche en personnages contrastés. Récit plutôt superficiel et anecdotique. Mise en scène efficace au rythme soutenu. Distribution imposante. (sortie en salle: 15 avril 2011)
Manon Dumais - Voir
Avec son casting béton (...), son atmosphère très estivale et ses répliques piquantes, LES PETITS MOUCHOIRS s'avère dans son premier tiers une irrésistible comédie dramatique (...). Plus le récit avance, plus celui-ci s'empêtre dans une morale prêchi-prêcha (...). Pour finir, (...) Canet (...) termine en un crescendo d'émotions auquel il semble incapable de mettre fin. Préparez vos mouchoirs...
Aurélien Ferenczi - Libération
(...) LES PETITS MOUCHOIRS, film aussi vide qu'est grande sa prétention à faire date: durée hors normes, casting all stars (...), bande-son soul dont le coût seul doit excéder le budget d'un premier film d'auteur. (...) On a rarement vu, dans un film aussi long, des personnages évoluer si peu: dessinés à gros traits, ils ne bougent pas d'un iota.
Thomas Sotinel - Le Monde
(...) l'absence d'intérêt de ces plus ou moins quadragénaires se fait de plus en plus étouffante. (...) Canet réalisateur ne peut que s'en prendre à Canet scénariste: comme antidote à l'accumulation des petits travers, il n'a trouvé que le mélodrame et une fin qui s'emploie laborieusement à résoudre chacun des conflits amorcés deux heures et demie plus tôt.
Marie Sauvion - Le Parisien
(...) on préfère Canet qui rit à Canet qui pleure. (...) il lui manque encore la subtilité et l'élégance d'un Jean-Loup Dabadie, sans parler de la cruauté et de la maîtrise d'un Claude Sautet. Bâti autour d'un drame dont on voit venir le dénouement de loin, LES PETITS MOUCHOIRS s'acharne trop à nous les faire sortir les mouchoirs, en inondant l'écran de larmes et de musique.
Arnaud Schwartz - La Croix
Dialogues peu subtils, situations outrées, personnages manquant d’épaisseur n’incitent pas à une lecture fine de cette longue chronique collective. (...) reste quelques explosions très drôles, quelques scènes formidables d’émotion sobre et silencieuse (...), qui rappellent que Guillaume Canet est un metteur en scène doué, capable de beaucoup de sensibilité.
François-Guillaume Lorrain - Le Point
Le tout est (...) bien-pensant et vire à la leçon de morale (...), mais les liens multiples qui unissent les acteurs - cela se voit et se sent à l'écran -, certaines séquences qui prennent le temps, luxe rare dans notre cinéma, font qu'il y a tout de même beaucoup à prendre au cours de ces 2 h 34 min. Dommage que la fin, trop larmoyante, gâche un peu la fête.
Chef-d'oeuvre
Remarquable
Très bon
Bon
Moyen
Pauvre
Minable
