Arg. 2009. Drame de Mariano Cohn, Gaston Duprat avec Rafael Spregelburd, Daniel Araoz, Eugenia Alonsa. La vie d'un designer réputé est bouleversée par un voisin rustaud et envahissant qui a décidé de percer une fenêtre donnant sur sa maison conçue par Le Corbusier. Scénario habile, axé sur le sentiment de malaise. Touches sarcastiques. Mise en scène rigoureuse. Interprétation sans fausses notes. (sortie en salle: 10 juin 2011)
En attente de classement Arg. 2009. Drame de Mariano Cohn, Gaston Duprat avec Rafael Spregelburd, Daniel Araoz, Eugenia Alonsa.
La vie d'un designer réputé est bouleversée par un voisin rustaud et envahissant qui a décidé de percer une fenêtre donnant sur sa maison conçue par Le Corbusier. Scénario habile, axé sur le sentiment de malaise. Touches sarcastiques. Mise en scène rigoureuse. Interprétation sans fausses notes. (sortie en salle: 10 juin 2011)
Odile Tremblay - Le Devoir
Cette comédie argentine traitant avec style une querelle de voisinage féroce à la McLaren s'offre un portrait de société bien gratiné porté par de bonnes répliques et des gags visuels désopilants. (...) Ça grince, ça dérape, ça se joue sur un rythme d'enfer. Parfois en forçant le trait (...). Mais la finesse absurde est au rendez-vous la plupart du temps.
Aleksi K. Lepage - La Presse
Cette sorte d’étude comparative de psychologie comportementale, visuellement léchée et mâtinée de comédie légère, échappe à la catégorisation et, à travers ce duel, propose des archétypes auxquels on peut (...) s’identifier, toutes classes confondues.
Matthew Hays - Mirror
This is a brilliant little film - sharply written, intriguing and entirely unexpected. A reminder of what can be done with a very low budget, some great actors and a clever script. Best of all, you never quite know what plot twists are coming next.
Cécile Mury - Télérama
L'idée serait parfaite pour un court métrage. Mais cette comédie cruelle se répète et se dilue. L'interprétation incisive des comédiens et l'élégance froide de la fameuse demeure méritent néanmoins le détour.
Vincent Ostria - L'Humanité
Tout en reconnaissant que le point de départ – l’idée de la fenêtre, l’utilisation du bâtiment futuriste – est excellent, on aurait aimé se passer de la caractérisation sociologique assez grossière et pesante qui s’ensuit. Était-on obligé d’embrayer sur une mauvaise pièce de théâtre?
Clément Ghys - Libération
Dans cette comédie grinçante, le propos de Mariano Cohn et Gastón Duprat est simple, un peu facile, mais efficace (...). Et si le personnage du voisin, Boudu latino et violent, est souvent caricatural, son duel (...) avec le héros est la marque d’une société sud-américaine divisée, entre bourgeoisie cosmopolite, reliquats de dictature et nouveaux codes de différenciation culturelle.
Thomas Sotinel - Le Monde
Dans l'exercice de la satire, [Cohn et Duprat] font preuve d'une telle précision que leur film - malgré sa longueur excessive - atteint souvent des sommets comiques. (...) Au bout du compte, on obtient un film rare, même s'il est imparfait, une satire analytique qui exige un peu de réflexion pour faire rire.
Corinne Renou-Nativel - La Croix
Dans ce film oppressant, toujours sur le fil de la comédie et du drame, la mise en scène s'affirme constamment inventive et structurée, comme pour se hisser à la hauteur de l'esthétique du bâtiment de Le Corbusier.
Chef-d'oeuvre
Remarquable
Très bon
Bon
Moyen
Pauvre
Minable
