Remarquable

L'Atelier de mon père

Name: Atelier de mon père, L'
Director: Jennifer Alleyn
Genre: Documentaire
Duration: 72 min.

Can. 2008. Documentaire de Jennifer Alleyn avec Jennifer Alleyn. La vie et l'oeuvre du peintre québécois Edmund Alleyn (1931-2004) à travers le regard de sa fille cinéaste. Portrait éclairant d'un artiste contemporain de grande valeur. Approche spleenétique inégale mais sincère. Forme plutôt improvisée. (sortie en salle: 9 mai 2008)

L'Atelier de mon père (L'Atelier de mon père)

Général

Can. 2008. Documentaire de Jennifer Alleyn avec Jennifer Alleyn.

La vie et l'oeuvre du peintre québécois Edmund Alleyn (1931-2004) à travers le regard de sa fille cinéaste. Portrait éclairant d'un artiste contemporain de grande valeur. Approche spleenétique inégale mais sincère. Forme plutôt improvisée. (sortie en salle: 9 mai 2008)

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Genre :

Documentaire

Année :

2008

Durée :

72 min.

Réalisation :

Jennifer Alleyn

Scénario :

Jennifer Alleyn

Photographie :

Jennifer Alleyn
Jean-Claude Labrecque

Musique :

Simon Bellefleur
Jean-François Ouellet

Montage :

Annie Jean

Pays :

Canada
Québec

Distributeur :

Les Films du 3 Mars

Producteurs :

Interprètes :

Jennifer Alleyn

site officiel

Récompenses

La cinéaste et photographe Jennifer Alleyn pose un regard sur la vie et l'oeuvre de son père, l'artiste peintre québécois Edmund Alleyn qui, à sa mort survenue en 2004, lui a légué le contenu de son atelier. Le parcours de cette figure marquante de l'histoire de l'art contemporain est reconstitué à partir des fragments d'une conversation captée par la caméra de sa fille en 2001, des témoignages de proches et d'historiens qui l'ont connu et des traces qu'il a laissées, dans son atelier comme dans la mémoire collective.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Partant des quelques instants forts qui ont émergé de sa conversation avec son père, en 2001, Jennifer Alleyn (le collectif COSMOS) évoque le parcours intime et artistique de celui-ci à travers ce portrait éclairant mais d'une forme plutôt improvisée, où l'auteure, peut-être sans le vouloir, se révèle tout autant que son sujet. Résultat: un documentaire spleenétique, inégal mais sincère, dans lequel Alleyn, tout en communiquant son respect et sa fascination pour l'oeuvre de son père, un homme solitaire et secret, s'interroge sur le prix que son art a fait payer à ceux qui l'entouraient et l'aimaient.

Texte : Martin Bilodeau

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