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Mission: Impossible III

É.-U. 2006. Drame d'espionnage de J.J. Abrams avec Tom Cruise, Philip Seymour Hoffman, Michelle Monaghan. Un ex-agent secret doit reprendre du service pour combattre un redoutable trafiquant d'armes qui a kidnappé son épouse. Scénario plutôt convenu et souvent improbable, mais générant un suspense assez prenant. Réalisation spectaculaire. Interprétation dans la note.

13 ans + (violence)
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Mission: Impossible III (Mission: Impossible III)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

É.-U. 2006. Drame d'espionnage de J.J. Abrams avec Tom Cruise, Philip Seymour Hoffman, Michelle Monaghan.

Un ex-agent secret doit reprendre du service pour combattre un redoutable trafiquant d'armes qui a kidnappé son épouse. Scénario plutôt convenu et souvent improbable, mais générant un suspense assez prenant. Réalisation spectaculaire. Interprétation dans la note.

Ethan Hunt s'est retiré de l'Impossible Mission Force pour épouser sa bien-aimée Julia, qui ignore tout de son passé d'agent secret. Mais il est bientôt appelé par son ex-superviseur pour organiser avec une nouvelle équipe le sauvetage à Berlin de la jeune Lindsey, une agente qu'il avait lui-même formée. Or, Ethan échoue à lui sauver la vie. Pour se racheter, il part avec ses coéquipiers au Vatican, où il capture le ravisseur de Lindsey, le trafiquant Owen Davian, qui s'apprêtait à vendre une arme redoutable surnommée le «Rabbit Foot». Mais grâce au concours d'un mystérieux complice au sein de l'IMF, Davian parvient à s'évader, puis à kidnapper Julia, qu'il détient à Shanghai. Si Ethan ne parvient pas à retrouver le «Rabbit Foot» et à le lui rapporter dans les 48 heures, son épouse mourra.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Pour ce troisième MISSION: IMPOSSIBLE, l'acteur-producteur Tom Cruise a recruté J.J. Abrams, novice au cinéma mais auréolé du succès des téléséries «Felicity», «Alias» et «Lost». Sans égaler la virtuosité de Brian De Palma, qui signait le premier épisode, ni rivaliser avec les extravagances stylistiques de John Woo, qui réalisait le second, Abrams livre un travail à la fois personnel et efficace. Ainsi, tout en parvenant à rendre le héros plus humain et vulnérable que dans les précédents opus, le réalisateur réserve au spectateur plusieurs moments de suspense prenants, notamment lors de la très réussie séquence au Vatican. Mais par la suite, même les passages les plus spectaculaires n'arrivent pas à faire oublier les improbabilités criantes du récit, qui se font jour principalement durant le segment final à Shanghai. Du reste, le scénario n'apparaît pas particulièrement inspiré, avec son lot attendu de trahisons, de doubles jeux et de faux-semblants. L'interprétation est dans la note.

Texte : Louis-Paul Rioux

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