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Une Vie de bestiole (A Bug's Life)

É.-U. 1998. Film d'animation de John Lasseter, Andrew Stanton . Une fourmi fait appel à une troupe de bestioles acrobates pour défendre sa colonie contre des sauterelles. Récit savoureux inspiré des "Sept Samouraïs" de Kurosawa. Univers fantaisiste aux couleurs éclatantes. Conception visuelle ingénieuse. Réalisation souple et inventive. (sortie en salle: 21 novembre 2007)

Général
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Une Vie de bestiole (A Bug's Life)

Général Général

É.-U. 1998. Film d'animation de John Lasseter, Andrew Stanton .

Une fourmi fait appel à une troupe de bestioles acrobates pour défendre sa colonie contre des sauterelles. Récit savoureux inspiré des "Sept Samouraïs" de Kurosawa. Univers fantaisiste aux couleurs éclatantes. Conception visuelle ingénieuse. Réalisation souple et inventive. (sortie en salle: 21 novembre 2007)

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Photographie :
Musique :
Montage :
Pays :
Distributeur :
Buena Vista
Chaque année, les fourmis d'une colonie amassent un tribut de nourriture pour une bande de sauterelles cruelles. Mais Flik, une fourmi mâle aux talents d'inventeur, ruine la récolte de l'été et attire les foudres de Hopper, le chef des vils orthodoptères. Rejeté par sa colonie, Flik part à la recherche de vaillants insectes capables de tenir tête à Hopper. Suite à une méprise, il recrute les services d'une troupe de bestioles acrobates au chômage qui parvient quand même à défendre la colonie.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Produit par Pixar et Disney et conçu par la même équipe que TOY STORY, A BUG'S LIFE devient le troisième long métrage d'animation entièrement réalisé par ordinateur, puisqu'il sort sur les écrans quelques semaines après ANTZ, un projet rival sur un sujet similaire. Si la comparaison entre les deux films s'avère inévitable, car tous les deux se déroulent dans une colonie de fourmis, le ton et le traitement diffèrent considérablement de l'un à l'autre. Alors qu'ANTZ penche vers un humour plus ironique et sophistiqué, A BUG'S LIFE s'adresse directement aux enfants en créant un univers fantaisiste aux couleurs éclatantes, animé de tons pastels et de textures translucides, le tout cadré en cinémascope, une première pour ce type de films. S'appuyant sur une intrigue rappelant LES SEPT SAMOURAÏS de Kurosawa, le scénario multiplie les situations loufoques et les gags visuels, confectionnant un divertissement un peu superficiel mais à l'intérêt sans cesse renouvelé par l'invention et la souplesse de la réalisation. En témoigne, le générique particulièrement amusant.

Texte : André Caron

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