Karmina
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Karmina

13
1996
Fuyant un mariage imposé par ses parents, une vampire trouve refuge auprès de sa tante qui l'incite à redevenir humaine.
Pastiche convenu du film d'horreur. Conception visuelle et mise en scène appliquées. Interprétation parfois caricaturale.

L'avis de Mediafilm

Le second long métrage du réalisateur de L'AUTOMNE SAUVAGE débute sur une note intéressante: dans un décor gothique digne des meilleurs films d'épouvante, des vampires baragouinent un mélange de pseudo-roumain et d'expressions québécoises. La parodie devient encore plus amusante grâce à l'apparition momentanée mais ironique de sous-titres. Cependant, une fois ce prologue passé, le film n'a plus grand chose à dire. KARMINA perd alors tout son mordant et devient un pastiche quelconque qui rappelle les techniques de Rock et belles oreilles (Yves Pelletier y est sans doute pour quelque chose). Il faut cependant signaler la réussite formelle du film. En effet, malgré un budget restreint, KARMINA propose des effets visuels assez réussis et une mise en scène appliquée. Cette dernière, par contre, n'a pas toujours su éviter la caricature dans l'interprétation.

Carlo Mandolini

Synopsis

Année

1996

Genre

Comédie d'horreur

Durée

110 min.

Origine

Canada

Information

Classification

13

Genre

Comédie d'horreur

Année

1996

Durée

110 min.

Réalisation

Photographie