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Le Confessionnal

Can. 1995. Drame de moeurs de Robert Lepage avec Lothaire Bluteau, Patrick Goyette, Jean-Louis Millette. De retour à Québec, un jeune homme est plongé dans un mystère lorsqu'il tente de retrouver son frère dont il est sans nouvelles. Intrigue complexe parsemée de dérapages spatiotemporels. Nombreuses références hitchcockiennes. Facture souvent audacieuse. Interprétation intense.

13 ans +
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Le Confessionnal (Le Confessionnal)

13 ans + 13 ans +

Can. 1995. Drame de moeurs de Robert Lepage avec Lothaire Bluteau, Patrick Goyette, Jean-Louis Millette.

De retour à Québec, un jeune homme est plongé dans un mystère lorsqu'il tente de retrouver son frère dont il est sans nouvelles. Intrigue complexe parsemée de dérapages spatiotemporels. Nombreuses références hitchcockiennes. Facture souvent audacieuse. Interprétation intense.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Photographie :
Musique :
Montage :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
Producteurs :
Récompenses
Suite à un long séjour à l'étranger, Pierre Lamontagne est de retour dans sa ville natale de Québec où son père vient de décéder. Il tombe un jour par hasard sur son frère Marc dont il était sans nouvelles, mais ce dernier le fuit. Pierre met alors tout en oeuvre pour le retrouver. Ses recherches le plongent au coeur d'un mystère dont la clé se trouve dans des événements qui remontent à 1952, à l'époque où Alfred Hitchcock tournait un film dans la vieille capitale.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Bien qu'il ne soit pas le chef-d'oeuvre que plusieurs attendaient du premier film de Robert Lepage, dont le génie théâtral ne fait plus de doute, LE CONFESSIONNAL force le respect par sa complexité narrative et l'audace de sa facture. On y reconnaît des thèmes chers à l'auteur: petite et grande histoire s'y conjuguent pour mieux nous entretenir de la quête d'identité. C'est une recherche que le cinéaste veut plus cérébrale qu'affective, mais l'émotion n'en demeure pas moins inscrite en filigrane dans le drame passionnel que vivent les personnages. Le style à la fois théâtral, dans le choix de certains cadrages et la direction d'acteurs, et purement cinématographique, dans les dérapages spatio-temporaux qu'occasionne le montage, procure au spectateur averti un casse-tête formel qu'il se doit de déchiffrer pour bien apprécier toutes les nuances du discours. Il en va de même des nombreuses références hitchcockiennes qui se glissent dans la mise en scène. L'interprétation possède l'intensité voulue.

Texte : Johanne Larue

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