Si la vie vous intéresse (Renaissance Man)

Name: Si la vie vous intéresse
Director: Penny Marshall
Genre: Comédie dramatique
Duration: 129 min.

É.-U. 1994. Comédie dramatique de Penny Marshall avec Danny DeVito, Lillo Brancato, Stacey Dash. Un concepteur de publicités au chômage accepte un emploi de professeur dans une caserne. Mélange attendu d'humour et de sentimentalisme. Analyse sociologique quasi inexistante. Réalisation consciencieuse. D. DeVito égal à lui-même.

Si la vie vous intéresse (Renaissance Man)

Général

É.-U. 1994. Comédie dramatique de Penny Marshall avec Danny DeVito, Lillo Brancato, Stacey Dash.

Un concepteur de publicités au chômage accepte un emploi de professeur dans une caserne. Mélange attendu d'humour et de sentimentalisme. Analyse sociologique quasi inexistante. Réalisation consciencieuse. D. DeVito égal à lui-même.

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Genre :

Comédie dramatique

Année :

1994

Durée :

129 min.

Réalisation :

Penny Marshall

Scénario :

Jim Burnstein

Photographie :

Adam Greenberg

Musique :

Hans Zimmer

Montage :

George Bowers
Battle Davis

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Buena Vista

Interprètes :

Danny DeVito
Lillo Brancato
Stacey Dash
Gregory Hines
James Remar
Ed Begley Jr.

Le moral du publiciste Bill Rago est au plus bas lorsqu'à la suite d'un malencontreux retard il se retrouve au chômage. Pour survivre, il est bien obligé d'accepter un emploi de prof dans une caserne. Il doit participer ainsi à un programme expérimental afin d'améliorer la moyenne intellectuelle de sept recrues peu futées. Déjà peu apprécié pour son style décontracté par le sergent-chef, Bill éprouve quelques difficultés à enseigner Hamlet de Shakespeare à ses cancres. Avec le temps cependant, une certaine complicité naît entre eux, mais celle-ci est mise en péril lorsqu'en voulant aider l'un de ses protégés Bill en provoque involontairement l'arrestation.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Suivant une formule classique, la réalisatrice distille méthodiquement des scènes amusantes et des séquences propices à faire poindre une larme à l'oeil. Encore faut-il que l'on se sente concerné par les tribulations de ce chômeur bon enfant où par les pointes de patriotisme que déverse un scénario flirtant avec le clip publicitaire pour l'armée des Etats-Unis. C'est dire que l'analyse sociologique est quasi inexistante, alors que le thème de départ prêtait justement à un tel exercice. Sans état d'âme, Penny Marshall applique consciencieusement toutes les règles qui apparentent son travail à bon nombre de téléfilms, alors que Danny DeVito se démène comme à son habitude, entouré de partenaires au charisme plus limité.

Texte : Christian Depoorter

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