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La Jeune Fille et la mort (Death and the Maiden)

É.-U. 1994. Drame psychologique de Roman Polanski avec Sigourney Weaver, Ben Kingsley, Stuart Wilson. Dans un pays sud-américain, une femme séquestre un homme en qui elle croit reconnaître l'un des bourreaux qui l'avaient torturée sous l'ancienne dictature. Adaptation d'une pièce d'Ariel Dorfman. Huis clos d'une grande intensité dramatique. Composition prenante de S. Weaver.

13 ans + (violence, langage vulgaire)
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La Jeune Fille et la mort (Death and the Maiden)

13 ans + (violence, langage vulgaire) 13 ans + (violence, langage vulgaire)

É.-U. 1994. Drame psychologique de Roman Polanski avec Sigourney Weaver, Ben Kingsley, Stuart Wilson.

Dans un pays sud-américain, une femme séquestre un homme en qui elle croit reconnaître l'un des bourreaux qui l'avaient torturée sous l'ancienne dictature. Adaptation d'une pièce d'Ariel Dorfman. Huis clos d'une grande intensité dramatique. Composition prenante de S. Weaver.

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Dans une maison isolée sur une côte de l'Amérique latine, un soir d'orage, Paulina attend le retour de son mari, l'avocat Gerardo Escobar. Il arrive enfin, reconduit par un étranger, le docteur Miranda. Paulina croit reconnaître en ce dernier l'un des bourreaux qui l'avaient torturée il y a quinze ans, sous l'ancienne dictature. Armée et déterminée, elle séquestre le médecin et force son mari à lui soutirer des aveux.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Depuis une quinzaine d'années, Roman Polanski délaisse peu à peu le cinéma pour se consacrer au théâtre. Ce film de commande confirme d'ailleurs cette tendance, puisque c'est la première fois que le cinéaste adapte une pièce. De plus, contrairement à son habitude, il n'a pas rédigé lui-même le scénario avec son collaborateur attitré, Gérard Brach. Au lieu d'explorer les possibilités d'une réalisation plus vivante, Polanski fixe plutôt sa caméra sur le trio d'acteurs qui se démène dans ce huis clos à connotation théâtrale. Ce que le film perd en style, il le récupère cependant en intensité dramatique, même si certains passages forcent un peu trop la note. Sigourney Weaver compose brillamment un personnage meurtri par la vie et déchiré par l'ambivalence de ses émotions.

Texte : André Caron

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