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La Cité de la joie (City of Joy)

G.-B. 1992. Drame social de Roland Joffé avec Patrick Swayze, Om Puri, Pauline Collins. Un médecin américain en visite à Calcutta est recruté par une infirmière bénévole qui soigne les démunis dans un quartier pauvre. Adaptation quelque peu superficielle d'un roman de Dominique Lapierre. Souffle dramatique indéniable. Illustration de la ville parfois saisissante. Interprétation dominée par O. Puri.

13 ans +
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La Cité de la joie (City of Joy)

13 ans + 13 ans +

G.-B. 1992. Drame social de Roland Joffé avec Patrick Swayze, Om Puri, Pauline Collins.

Un médecin américain en visite à Calcutta est recruté par une infirmière bénévole qui soigne les démunis dans un quartier pauvre. Adaptation quelque peu superficielle d'un roman de Dominique Lapierre. Souffle dramatique indéniable. Illustration de la ville parfois saisissante. Interprétation dominée par O. Puri.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Mark Medoff
D'après le livre de Dominique Lapierre
Photographie :
Musique :
Montage :
Pays :
Distributeur :
Sony Pictures
Un soir, Hasari, un paysan dépossédé nouvellement arrivé à Calcutta, porte secours à Max, un Américain assailli par des voyous, et l'emmène à la clinique de Joan, une Anglaise qui soigne les démunis. Apprenant que Max est médecin, la jeune femme tente alors de le recruter. Celui-ci refuse, puis se ravise lorsque des ennuis financiers l'obligent à prolonger son séjour. Ensemble, ils décident d'ouvrir leur porte aux lépreux, ce qui incite le mafioso Ghatak à rançonner exagérément la clinique contre une soi-disant protection. Un conflit violent éclate, dans lequel Hasari, devenu tireur de pousse-pousse, est entraîné presque malgré lui.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce film provoque des sentiments ambivalents. D'une part, il décrit dans un esprit humain et chaleureux la vie et le courage des habitants d'un quartier miséreux de Calcutta; d'autre part, il s'appuie souvent sur le point de vue dominant d'un héros américain qui se permet de faire la morale plus souvent qu'à son tour. Quoi qu'il en soit, il faut reconnaître à l'ensemble un souffle dramatique indéniable et une illustration parfois saisissante de la ville. Quelques passages relèvent du tour de force au plan de la mise en scène, mais le film a tendance à demeurer à la surface des choses, notamment dans l'exploration psychologique des personnages. L'interprétation est dominée par Om Puri dont le jeu est d'une grande justesse.

Texte : Martin Girard

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