É.-U. 1991. Drame de moeurs de Ridley Scott avec Susan Sarandon, Geena Davis, Harvey Keitel. Après avoir abattu un violeur, une serveuse et une femme au foyer deviennent des fugitives qui s'enfoncent de plus en plus dans le crime. Road movie à saveur féministe ponctué de scènes d'action palpitantes. Héroïnes attachantes. Sens de l'image étonnant. Interprétation à la fois humaine et pittoresque. (sortie en salle: 24 mai 1991)
Après avoir abattu un violeur, une serveuse et une femme au foyer deviennent des fugitives qui s'enfoncent de plus en plus dans le crime. Road movie à saveur féministe ponctué de scènes d'action palpitantes. Héroïnes attachantes. Sens de l'image étonnant. Interprétation à la fois humaine et pittoresque. (sortie en salle: 24 mai 1991)
Ce "road movie" possède la particularité assez rare dans ce sous-genre cinématographique de mettre l'accent sur des tribulations vécues par des femmes. La psychologie et les motivations des personnages auraient pu être un peu plus fouillées, mais il n'en demeure pas moins que les deux vedettes, très à l'aise dans des rôles dévolus habituellement à des hommes, portent le film à bout de bras par une interprétation à la fois fort humaine et pittoresque. Les quelques temps morts qui viennent ponctuer le récit sont compensés par plusieurs scènes d'action palpitantes durant lesquelles le réalisateur fait montre d'un étonnant sens de l'image.
Texte : Christian Depoorter
staff - Variety
Despite some delectably funny scenes between the sexes, Ridley Scott’s pic isn’t about women vs men. It’s about freedom, like any good road picture. In that sense, and in many others, it’s a classic.
Janet Maslin - New York Times
It reimagines the buddy film with such freshness and vigor that the genre seems positively new.
Par : Jason Plante, Gatineau
Moi je me suis toujours demande pourquoi les films ne sont pas (1). Et avec Thelma et Louise, on est tous dans l'abime. Parce que le cineaste n'aurait su mieux faire (la fameuse photo du debut du film, la Thunderbid verte dvenue l'heroine du film (tout ca ne dependait que de la vision de Ridley Scott). Quoique le scenario fait un peu trop feministe (par moments), les deux actrices, de par leurs roles, sont charismatiques et les 2 auraient du gagner l'Oscar (mais bon, il en est arrive un autre). Les paysages sublimes, l'histoire (que tous les hommes sont "cons"), et pas trop d'embuches dans le scenario, a ce film, je lui donne un...
J'attribue à ce film la Cote