En 1935, un archéologue aventureux enquête sur d'étranges agissements dans le palais d'un maharadjah. Ton d'humour. Réalisation habile. Développements extravagants. Interprétation satisfaisante.
Cette deuxième aventure d'Indiana Jones se situe chronologiquement avant celle qui était racontée dans RAIDERS OF THE LOST ARK. Pour ce nouvel épisode, le réalisateur n'a rien perdu de son habileté non plus que de son invention narrative, même si le récit s'alourdit quelque peu en son milieu. Un ton d'humour constant se mêle à la tension, ce qui permet d'accepter plus facilement l'extravagance de certains développements. L'ensemble fait penser à un feu d'artifices; chaque effet pyrotechnique réussi laisse espérer une suite plus spectaculaire encore. Des références cinématographiques ajoutent au plaisir et le jeu des acteurs est pleinement satisfaisant pour le genre.
Texte : Robert-Claude Bérubé
Par : Mathieu Desharnais, Trois-Rivières
Le rythme de ce TEMPLE OF DOOM fait défaut au milieu, mais l'action et l'humour y sont réjouissants, comme la poursuite en chariot et la scène sur un pont suspendu précaire. Si je ne me trompe pas, ce film est à l'origine du classement PG-13.
J'attribue à ce film la Cote
Par : Loïc Sirois, Saint-Jean-sur-Richelieu
La critique du 10 juin 2021, est de moi.
J'attribue à ce film la Cote
Marc Toullec - Ciné-Choc
La réussite d'INDIANA JONES provient curieusement de ce mélange étroit de comédie et de sérieux, sans que l'un prenne le pas sur l'autre. Les scènes les plus marquantes du film sont conçues dans cette optique. Difficile gageure que bâtir de véritables morceaux d'anthologie sur des bases aussi problématiques.
(Texte paru en 1984)
Par : Loïc Sirois, Saint-Jean-sur-Richelieu
Dans ce deuxième opus de la saga Indiana Jones, Spielberg nous offre autant de scènes fortes que de scènes molles. Contrairement à RAIDERS OF THE LOST ARK, le jeu des acteurs se rapproche plus de la caricature comme en témoigne le personnage de Kate Capshaw. Le long-métrage penche trop vers l’humour en nous donnant des scènes tantôt inutiles, tantôt manquant de subtilité. Malgré tout, les idées ingénieuses de Steven Spielberg nous offrent des scènes excellentes et dynamiques. INDIANA JONES AND THE TEMPLE OF DOOM est une œuvre qui n’égale pas le long-métrage de 1981 mais qui s’avère tout de même une production convaincante.
J'attribue à ce film la Cote