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Laura, les ombres de l'été

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1979 ·
100% est d'accord avec la cote
Frappé par sa beauté gracile, un sculpteur décide de prendre comme nouveau modèle une adolescente qui s'avère être la fille d'une ancienne maîtresse.
Intrigue artificielle et superficielle prétexte à mettre en valeur les beautés de l'adolescence. Photographie vaporeuse très soignée. Interprètes posant élégamment.

L'avis de Mediafilm

Comme BILITIS, son premier film, cette nouvelle oeuvre de David Hamilton, est d'abord et avant tout un travail de photographe où l'auteur cherche à mettre en valeur les beautés de l'adolescence. Ses personnages prennent la pose continuellement à travers les scènes d'une intrigue artificielle et superficielle. Les images se succèdent dans une luminosité vaporeuse où la préciosité esthétique le dispute à l'insuffisance psychologique. Les interprètes campent avec une certaine élégance les marionnettes imaginées par le cinéaste improvisé.

Robert-Claude Bérubé

Synopsis

Accompagnant un ami à un cours de danse, le sculpteur Paul Wyler est attiré par la beauté gracile d'une adolescente, Laura. Il apprend qu'il s'agit de la fille d'une ancienne maîtresse, Sarah. Lorsqu'il parle de prendre Laura comme modèle, Sarah lui offre des photos qu'elle a prises de sa fille. Paul n'en commence pas moins une statue, mais il est rendu aveugle dans un incendie. Poussée par l'amour et la pitié, Laura le rejoint dans son atelier et se donne à lui.

Année

1979

Genre

Drame sentimental

Durée

90 min.

Origine

France