Remarquable

Jack le magnifique (Saint Jack)

Name: Jack le magnifique
Director: Peter Bogdanovich
Genre: Drame
Duration: 112 min.

É.-U. 1979. Drame de Peter Bogdanovich avec Ben Gazzara, Denholm Elliott, Peter Bogdanovich. Un américain d'origine italienne vivant à Singapour exerce la fonction d'entremetteur et rêve de posséder une maison de tolérance luxueuse. Récit confus et peu rigoureux. Réalisation souple et habile. Interprétation convaincante de B. Gazzara.

Jack le magnifique (Saint Jack)

18 ans +

É.-U. 1979. Drame de Peter Bogdanovich avec Ben Gazzara, Denholm Elliott, Peter Bogdanovich.

Un américain d'origine italienne vivant à Singapour exerce la fonction d'entremetteur et rêve de posséder une maison de tolérance luxueuse. Récit confus et peu rigoureux. Réalisation souple et habile. Interprétation convaincante de B. Gazzara.

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Genre :

Drame

Année :

1979

Durée :

112 min.

Réalisation :

Peter Bogdanovich

Scénario :

Howard Sackler
Paul Theroux
Peter Bogdanovich
D'après le roman de Paul Theroux

Photographie :

Robby Müller

Montage :

William C. Carruth

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Films Mutuels

Interprètes :

Ben Gazzara
Denholm Elliott
Peter Bogdanovich
Joss Ackland
James Villiers
Rodney Bewes
Mark Kingston
George Lazenby
Lisa Lu
Judy Lim

Un Américain d'origine italienne, Giovanni Fiori dit Jack Flowers, vit à Singapour où il exerce la fonction d'entremetteur auprès de quelques prostituées locales. Il rêve de posséder une maison de tolérance luxueuse, mais alors qu'il est près d'y arriver, il est sévèrement corrigé par la pègre indigène. Un compatriote, Schuman, lui offre la direction d'une maison de passe destinée à accueillir les soldats qui combattent au Vietnam.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Resté inactif pendant trois ans, Peter Bogdanovich a trouvé l'occasion de se remettre en selle avec ce film qui évoque les drames d'aventures exotiques jadis tournés régulièrement à Hollywood. Les décors sont réels maintenant et l'approche plus cynique qu'autrefois. Tout en évoluant dans un milieu sordide, le protagoniste conserve certains attributs sympathiques qui finissent par l'amener à une prise de conscience. Si l'optique d'ensemble est plutôt confuse et la structure dramatique peu rigoureuse, la réalisation se révèle souple et habile et Ben Gazzara (OPENING NIGHT) confère à son personnage une certaine densité psychologique.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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