La Chambre verte

Fr. 1978. Drame psychologique de François Truffaut avec François Truffaut, Nathalie Baye, Jean Dasté. Un ancien soldat devenu veuf après quelques années de mariage se voue au culte des morts. Sujet insolite. Style sobre. Photographie particulièrement soignée. Interprétation subtile.

La Chambre verte (La Chambre verte)

Général

Fr. 1978. Drame psychologique de François Truffaut avec François Truffaut, Nathalie Baye, Jean Dasté.

Un ancien soldat devenu veuf après quelques années de mariage se voue au culte des morts. Sujet insolite. Style sobre. Photographie particulièrement soignée. Interprétation subtile.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1978

Durée :

94 min.

Réalisation :

François Truffaut

Scénario :

Jean Gruault
François Truffaut
D'après l'oeuvre de Henry James

Photographie :

Nestor Almendros

Musique :

Maurice Jaubert

Montage :

Martine Barraqué

Pays :

France

Distributeur :

United Artists

Interprètes :

François Truffaut
Nathalie Baye
Jean Dasté
Patrick Maléon
Jeanne Lobre
Jean-Pierre Moulin

Ayant survécu à la guerre des tranchées et étant devenu veuf après quelques années de mariage, Julien Davenne s'est voué au culte des morts. Une pièce de sa maison est consacrée au souvenir de son épouse disparue. Il fait la connaissance d'une jeune fille, Cécilia, qui lui semble partager ses idées. Le feu ayant ravagé la chambre commémorative, Julien a l'idée de restaurer une chapelle en ruines dans le cimetière. Il invite Cécilia à se joindre à lui dans ses efforts pour garder vivante la mémoire des disparus.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Après L'HOMME QUI AIMAIT LES FEMMES, François Truffaut nous présente l'homme qui aimait les morts. La peinture qu'il fait de l'obsession de son héros ne manque pas de dignité en dépit de ses aspects morbides. Elle se présente en un style sobre, de facture classique, et prend souvent des accents à la Robert Bresson. La photographie est particulièrement soignée et utilise une gamme de tonalités sombres fort appropriées au sujet. Le réalisateur interprète lui-même le rôle principal sur un ton quasi éthéré.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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