Remarquable

C'est pas parce qu'on a rien à dire qu'il faut fermer sa gueule

Name: C'est pas parce qu'on a rien à dire qu'il faut fermer sa gueule
Director: Jacques Besnard
Genre: Comédie policière
Duration: 93 min.

Fr. 1974. Comédie policière de Jacques Besnard avec Bernard Blier, Michel Serrault, Jean Lefebvre. Des voleurs veulent cambrioler le coffre-fort d'une banque à partir de la salle de toilettes de la gare voisine. Situation assez ingénieuse. Réalisation goguenarde mais peu rigoureuse. Variations farfelues. Interprété avec entrain.

C'est pas parce qu'on a rien à dire qu'il faut fermer sa gueule (C'est pas parce qu'on a rien à dire qu'il faut fermer sa gueule)

Général

Fr. 1974. Comédie policière de Jacques Besnard avec Bernard Blier, Michel Serrault, Jean Lefebvre.

Des voleurs veulent cambrioler le coffre-fort d'une banque à partir de la salle de toilettes de la gare voisine. Situation assez ingénieuse. Réalisation goguenarde mais peu rigoureuse. Variations farfelues. Interprété avec entrain.

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Genre :

Comédie policière

Année :

1974

Durée :

93 min.

Réalisation :

Jacques Besnard

Scénario :

Jean Halain
Albert Kantoff
Jacques Besnard

Photographie :

Jean-Pierre Baux

Musique :

Gérard Calvi

Montage :

Gilbert Natot

Pays :

France

Distributeur :

Films Mutuels

Interprètes :

Bernard Blier
Michel Serrault
Jean Lefebvre
Tsilla Chelton
Marion Game
Popeck
Gérard Jugnot
Thierry Lhermitte
Max Amyl
Maurice Travail
Jean Pieuchot
Christian Clavier

Un receleur, Phano, met au point un plan pour percer le coffre-fort d'une banque à partir de la salle de toilettes de la gare voisine. Pour mener à bien son entreprise, il fait appel à deux voleurs maladroits mais fiables. Les trois lascars se relaient pour opérer dans une cabine sous des déguisements conçus, pour tromper la vigilance de la préposée aux lieux. L'affaire réussit, mais des circonstances imprévues risquent de priver les cambrioleurs de leur butin.

L’AVIS DE MEDIAFILM

La situation de base est assez ingénieuse et le développement du film bénéficie d'une réalisation goguenarde où la bonne humeur remplace la rigueur et l'efficacité. Tous les effets ne sont pas des plus heureux ou des plus raffinés, mais des variations farfelues basées sur le grotesque des déguisements rendent l'ensemble assez plaisant. Les comédiens se dépensent avec entrain pour contribuer à l'orientation loufoque de l'entreprise.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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