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Les Dernières Fiançailles

Name: Dernières Fiançailles, Les
Director: Jean-Pierre Lefebvre
Genre: Drame poétique
Duration: 94 min.

Can. 1973. Drame poétique de Jean-Pierre Lefebvre avec J. Léo Gagnon, Marthe Nadeau, Marcel Sabourin. Les derniers jours d'un vieux couple dans une maison à la campagne, au milieu d'un verger. Valeurs traditionnelles traitées avec un respect ému. Mise en scène d'une grande sensibilité. Interprétation toute en finesse.

Les Dernières Fiançailles (Les Dernières Fiançailles)

Général

Can. 1973. Drame poétique de Jean-Pierre Lefebvre avec J. Léo Gagnon, Marthe Nadeau, Marcel Sabourin.

Les derniers jours d'un vieux couple dans une maison à la campagne, au milieu d'un verger. Valeurs traditionnelles traitées avec un respect ému. Mise en scène d'une grande sensibilité. Interprétation toute en finesse.

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Genre :

Drame poétique

Année :

1973

Durée :

94 min.

Réalisation :

Jean-Pierre Lefebvre

Scénario :

Jean-Pierre Lefebvre

Photographie :

Guy Dufaux

Musique :

Andrée Paul

Montage :

Marguerite Duparc

Pays :

Canada
Québec

Distributeur :

7e Art Distribution

Producteurs :

Bernard Lalonde
Marguerite Duparc

Interprètes :

J. Léo Gagnon
Marthe Nadeau
Marcel Sabourin

Mariés depuis cinquante ans, Armand et Rose Tremblay vieillissent seuls ensemble dans une maison à la campagne au milieu d'un verger. Au printemps, Armand doit s'aliter à la suite d'une attaque au coeur, mais refuse d'être hospitalisé tout en sachant sa mort imminente. Rose demande à Dieu la grâce de mourir en même temps que son mari. De fait elle s'éteint quelques minutes après que son vieux a rendu le dernier soupir. Et deux petits anges viennent pour conduire leurs âmes en paradis.

L’AVIS DE MEDIAFILM

En une suite de scènes d'une grande douceur, Jean-Pierre Lefebvre a composé un poème sur la vie d'un vieux couple. Les valeurs traditionnelles qui sont chères aux personnages sont traitées avec un respect ému qui transforme le film en hommage à tout un passé. Si bien que les images gentiment fantastiques de la finale se fondent en toute simplicité avec le réalisme mitigé du début. Riche en images significatives, le film profite de surplus d'une interprétation toute en finesse.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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