La Vie privée de Sherlock Holmes (The Private Life of Sherlock Holmes)

Name: Vie privée de Sherlock Holmes, La
Director: Billy Wilder
Genre: Comédie policière
Duration: 125 min.

G.-B. 1970. Comédie policière de Billy Wilder avec Robert Stephens, Colin Blakely, Geneviève Page. Le célèbre détective est mêlé à une affaire d'espionnage où il n'a pas le beau rôle. Gentille démystification du mythe de Sherlock Holmes. Mise en scène souple et détendue. Ton humoristique. Jeu approprié des comédiens.

La Vie privée de Sherlock Holmes (The Private Life of Sherlock Holmes)

Général

G.-B. 1970. Comédie policière de Billy Wilder avec Robert Stephens, Colin Blakely, Geneviève Page.

Le célèbre détective est mêlé à une affaire d'espionnage où il n'a pas le beau rôle. Gentille démystification du mythe de Sherlock Holmes. Mise en scène souple et détendue. Ton humoristique. Jeu approprié des comédiens.

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Genre :

Comédie policière

Année :

1970

Durée :

125 min.

Réalisation :

Billy Wilder

Scénario :

Billy Wilder
D'après l'oeuvre de Arthur Conan Doyle

Pays :

Grande-Bretagne

Distributeur :

United Artists

Interprètes :

Robert Stephens
Colin Blakely
Geneviève Page
Christopher Lee

Une femme sauvée de la noyade est amenée un soir chez le détective Sherlock Holmes. Elle dit s'appeler Gabrielle Valadon et être à la recherche de son mari, un ingénieur belge. Certains indices lui permettant de croire que le disparu se trouve en Ecosse. Holmes s'y rend en compagnie de son inséparable Watson et de Madame Valadon. Une fois sur place, il se trouve embarqué dans une affaire d'espionnage où il n'a pas le beau rôle.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Billy Wilder s'emploie ici à démythifier gentiment le célèbre détective imaginé par Arthur Conan Doyle. La mise en scène est souple et détendue; le réalisateur préfère visiblement l'humour au suspense et ne se fait pas faute de s'attarder à des épisodes inutiles à la progression d'une intrigue située dans d'agréables décors. Le jeu pince-sans-rire de Robert Stephens et le charme acidulé de Geneviève Page contribuent à faire de l'ensemble un aimable divertissement. On se serait pourtant attendu à quelque chose de plus mordant de la part de Wilder.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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