(...) KNACK est un film fort réussi, dont la forme est parfois éblouissante, mais qui paraît davantage un exercice de style, un travail de virtuose qu'une oeuvre engageant son auteur. On comprend que le Festival de Cannes lui ait accordé sa récompense suprême (...). (Texte paru en 1965)

L'action est mené tambour battant accumulant les trouvailles humoristiques tantôt parlées, tantôt visuelles, en une alternance dynamique. Cet hymne (...) ignore les complexes et saute (...) du coq à l'âne (...) dans la tradition (...) de l'humour (...) britannique. (Texte paru en 1965)

(...) il y a tout à dire de ce film explosif qui met en images l'errance de l'imagination, la folie des sens et le mystère des réflexes. (...) Il y a (ni plus ni moins) de la fièvre, du vertige, du délire dans les caméras de Richard lester  (...). (Texte paru en 1965)

C'est un film d'obsessions. Un film où l'obsession s'exprime par le déluge d'images rêvées, de sensations à fleur de peau qu'elle provoque chez celui qui l'éprouve. (...) Impétueusement burlesque (...), ce film fou, fou, fou est plus vrai que bien des films réalistes. (Texte paru en 1965)

Joyeusement anti-conformiste, le film de Lester est (...) une succession de gags, de poursuites, de situations loufoques. (...) Peut-être pas un grand film, quelque fois un peu vain, inégal dans sa réussite, mais si neuf, si vivant, si jeune et chaleureux. (Texte paru en 1965)