Ce noeud de vipères japonais est présenté avec habileté et avec mordant par Kobayashi. Maître de son style et de sa technique, il fait évoluer le récit en arabesques qui s'entrecroisent au risque de perdre le spectateur. Si l'on admire le style savant de l'auteur, on ne peut guère cependant s'intéresser aux personnages dépravés qu'il met en scène, malgré l'excellente interprétation qui en est donnée.