Fr. 1956. Comédie dramatique de Claude Autant-Lara avec Jean Gabin, Bourvil, Louis de Funès. En 1942, les tribulations de deux hommes mêlés à des opérations de marché noir. Adaptation brillante d'une nouvelle de Marcel Aymé. Ton d'humour noir. Mise en scène précise. Dialogues savoureux. Montage rigoureux. Interprétation remarquable.
En 1942, les tribulations de deux hommes mêlés à des opérations de marché noir. Adaptation brillante d'une nouvelle de Marcel Aymé. Ton d'humour noir. Mise en scène précise. Dialogues savoureux. Montage rigoureux. Interprétation remarquable.
Beaucoup de talents reconnus ont contribué à la réussite exceptionnelle de ce film intensément dramatique, audacieux, cruel et amer: à l'origine Marcel Aymé, puis le réalisateur Claude Autant-Lara, les scénaristes Jean Aurenche et Pierre Bost, et enfin les interprètes Bourvil et Jean Gabin. À part la séquence finale qui semble être une concession commerciale, tout est excellent: la mise en scène sobre et efficace, les dialogues percutants, le découpage précis, le montage rigoureux et l'interprétation remarquable.
Par : H F,
"Salauds de pauvres!" lâche Jean Gabin dans le bistro miteux du couple de cabaretiers Lucienne et Alfred Couronne. Une scène d'anthologie avec un dialogue des plus savoureux.
J'attribue à ce film la Cote